Travailler plus pour gagner plus (avec un salaire horaire moindre), travailler plus pour produire plus et le moins cher possible, travailler plus pour augmenter la marge des bénéfices afin que les entreprises puissent en investir un peu plus dans la bourse pour augmenter leurs profits, travailler plus longtemps pour avoir droit à une retraite à minima, planifier toutes les retraites au même niveau ( le bas évidemment). Et le chômage là dedans, que devient-il ?
Serions-nous revenu aux pioniers du capitalisme ou l'Homme alliéné au travail n'est qu'un "outil" de production d'un coût minima ( le salaire) ne lui servant qu'à se nourrir pour le maintenir en forme afin de servir au mieux son patron et quand il ne sert plus, ou devient trop cher, lui attribuer un minimum de retraite pour lui assurer un minimum de survie.
Serions nous revenu à la lutte des classes où le capitalisme se sert de l'Homme uniquement comme outil de production et de profits ? Mais actuellement les politiques des chefs d'Êtats et des patrons qui tentent de relancer le capitalisme par l'aliénation de l'homme au travail sont coincés par la dominance des profits boursiers. La lutte est inégale voire inadmissible car tous les citoyens qui espèrent et ont foi en l'avenir sont perturbés et il ne faut pas s'étonner que l'intolérance gronde.
Notre Président a de bonnes intentions quand il prétend que seul le travail est un moyen d'existence pour la majorité des Français ( "le travail est le prolongement de lHomme" disait pardoxallement Karl Marxs) Coïncidence ?? Mais notre Président n'avez pas connaissance semble -t-il d'un nouveau capitalisme sournoi, par lequel le travail ne sert qu'à engranger des profits qui ne seront plus comme autrefois réinvestis dans des nouvelles entreprises encore plus proléfiques, mais dans un système boursier plus ou moins "mafieux" .Les attaques boursières étant dirigées contre les monaies afin de déstabiliser les gouvernements et encore amoindrir leurs économies, donc leurs inffluences. Ainsi dvenir les maîtres de la finance et des économies internationales. Bon courage messieurs les chefs d'Êtats. Mais attention juqu'à quand la tolérence des citoyens . J'espère que le dialogue sera toujours bien ouvert.
Je penses également que tant que les principales banques ne seront pas à nouveau nationalisées, nous ne sauront toujours pas comment transitent les finances qui servent les boursicoteurs mafieux qui détruisent les économies sans vergogne et sans sentiment pour les citoyens honnêtes qui en souffrent et en souffrirons des décennies. Si l'on veux sauver tous les systèmes sociaux existants qui ont aidé la société à prospérer - grâce au travail de tous et celui-ci convenablement récompensé depuis quelques décennies, il faut avant tout, non pas supprimer le capitalisme, mais le rendre humainement acceptable pour l'humanité toute entière. Sinon ce système s'auto-détruira comme se sont détruites toutes les anciennes civilisations très avancées à leur époque. Comme le nouveau capitalisme mafieux, les classes dominantes avaient considéré l'Homme dans sa grande majorité comme un ensemble d'idiots culturels au service de tous les seigneurs et maîtres. Un système social, équilibré et harmonieux, digne de ce nom, n'existe que si les capitalistes de la haute finance considèrent tous les êtres comme des individus en devenir, libres et égaux, et non pas seulement comme un recours éventuel à la base de leurs profits pour d'autres magouillent financières virtuelles, dont la bourse, dans lesquelles seul l'argent est considéré comme acceptable parce que lui seul procure la puissance et la gloire. Oui il faut déclarer la guerre à tous ces destructeurs d'économies.Le seul moyen : découvrir les sources de base de leurs profits, où sont placés leurs finances, comment elles fructifient, comment elles circulent, les sommes déplacées, les périodes favorables, qui s'entend avec qui, qui cache qui, qui achète quoi pour le revendre à qui. Vaste programme. La nationalisation des dix plus grosses banques internationales serait un premier pas le reste suivra aisément. Mais quels Chefs d'Etats dans les société capitalistes oseront faire ce premier pas ?
Oui il ne suffit pas de légiférer sur les retraites et pensions (Ceci peut se faire )encore faut-il crever aussi l'abcès du capitalisme, sinon la récession par le chômage et le manque à gagner des citoyens risque d'entraîner des mouvements sociaux internationaux sans précédents.
lundi 17 mai 2010
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