jeudi 12 novembre 2009

Grippe A : l'efficacité du vaccin a-elle été vérifiée ?

Faut-il se faire vacciner contre la grippe A ?
Personnellement je ne me suis jamais fait vacciner contre la grippe saisonnière, ni contre l'hépatite B. je ne me ferai pas vacciner contre la grippe A.

Pourquoi ?

Primo :
Je n'ai aucune confiance sur l'intérêt vaccinal de ce vaccin.

A -ton verifier l'apparition d'anticorps en post vaccination ? par quelles méthodes ?
Si ceci a été fait et a prouvé l'efficacité par l'apparition d'anticorps ou autre réaction vaccinale positive, quelle est la durée d'immunité ? Couvre -t-elle toute la période hivernale ?

Je ne craint pas les réactions aux adjuvants qui existent depuis bien longtemps dans d'autres vaccins, mais tant que l'efficacité n'est pas prouvée et que la catastrophe annoncée ne se démontre pas, j'estime inutile de me faire vacciner.

Secondo :

D'où vient se virus ?

Nous a-t-on révélé la vérité sur son apparition ? Une mutation d'un virus existant ? quand et dans quelles circonstances?

DES MAILS ont circulé sur internet offrant des versions les plus fantaisistes de l'apparition de ce virus. Difficile de faire le tri devant une telle désinformation.

Tout a été si vite et si mal fait dans l'information que le doute s'est installé faute de preuves formelles.

Lorsque le vaccin contre l'hépatite B a été rendu obligatoire pour certaines professions de santé le vaccin contre la typhoïde A et B obligatoire depuis 35 ans , ne l'a plus été du fait qu'il ne couvrait qu'une petite partie des typhoïdes existantes. Alors maintenant je doute et pas sans raison des vaccins lancés en toute hâte et médiatisés outrancièrement.

vendredi 6 novembre 2009

Le chômage, à qui la faute ?

Il est bien évident que le chômage s'accentuera par soubresauts mais de façon continue.

Tant que l'argent des superprofits est placé dans les goldens banques des pays où l'argent se cache.

Tant que les spéculations boursières rapporteront plus d'argent que la production.

Tant que le remplacement de l'homme par des robots qui augmentent considérablement les productions, ne sont jamais longtemps "malades" hormis quelques pannes, ne font pas la grève, ne réclament jamais d'augmentation de salaires, pas de retraite à payer etc... et de plus les robots fabriquent même ceux qui les remplaceront.

Tant également que s'accentueront les délocalisations vers des pays où les travailleurs ne coûtent pas chers et sont eux-mêmes robotisés.

C'est le progrès, ne soyons pas rétrogrades va t-on me dire. Mais que devient l'homme dans tout çà ? Lorsque l'homme écarté de la production, ou exploité à moindre coût n'aura plus de quoi se payer tous les produits fabriqués par ces robots même à moindre coût, peut-être alors nos gouvernants se décideront à "taxer" non plus les hommes révoltés par leur misère, mais les robots et obligeront les patrons exploiteurs à partager une partie de leurs profits, plutôt que de les planqués dans les banques véreuses. Mais ça n'en prend pas le chemin puisque l'on diminue les taxes des patrons pour produire soi-disant moins cher ( ils achèteront de nouveaux robots avec l'argent récupéré) et on augmente les taxes, ou on en crée des nouvelles, plus ou moins déguisées en prévention environnementale, ou prônées par la nécessité économique à cause la "crise" ( provoquée par les spéculateurs fortunés ). Ces nouvelles taxes grèvent sérieusement le moindre pouvoir d'achat de ceux qui ont encore un peu d'argent gagné à la sueur de leur front. Et malgré tout les pauvres sont encore plus pauvres. Et les quelques milliers d'hommes très très riches de plus en plus riches.
Le monde ne tourne vraiment pas rond. Si le progrès détruit l'avenir de la majorité des Hommes, à quoi sert - il ?