vendredi 12 décembre 2008

Trop de pays ont accédé trop vite à l'union européenne.




"Bon accord sur le climat" ce jour pour les uns, mais bon accord pour tous. Car en réalité tout le monde continuera selon ses possibilités et avec - beaucoup- de dérogations.
Pourquoi toutes ces autosatisfations, alors que cet accord ne changera pas grand chose. les poluueurs continueront à polluer sans rie débourser à l'union européenne.
Trop de pays constituent cette Europe. Beaucoup de ces pays sont entrés mais ne veulent pas changer un iota de leurs habitudes. On a l'impression que beaucoup de pays se servent de cette Europe pour noyer leurs erreurs voire leurs fautes dans dans l'imbroglio juridico-socio- économique de l'Europe. Ce qui les intéresse, c'est de profiter des largesses des 6 pays qui ont constitué la première Europe "unie" .
Hormis l'euro et éventuellement l'Europe verte tout le reste n'est que palabre puisque le plupart des pays ne respectent ou si peu les décisions.

Je suis toujours un européen convaincu, mais je sais aussi que nous avons admis trop vite trop de pays qui n'étaient pas encore près à cette intégration.
Et puis, changer de Président tous les 6 mois c'est stupide. Comment voulez-vous que ces accords tiennent.
Il faudrait réellement que l'Europe se décide à voter ses règles de fonctionnement, ceux qui n'acceptent pas quittent l'Europe.
Déjà la première erreur a été de ne pas obliger tous les pays à prendre l'euro comme monnaie unique, et nous continuons à créer des inégalités en accordant des dispenses de tous ordres dont celles sur "le climat" dont il s'agit aujourd'hui. A ce train la l'Europe sera un groupe de provinces qui fonctionneront avec leurs propres règles, alors l'Europe n'existera plus que dans l'abstrait, et tous les "sommets" seront voués à l'échec.
Espérons toujours un sursaut de nos grands penseurs de dirigeants.
La France elle-même ne respecte pas la règle du déficit publique , a-t-elle payée une seule taxe ?

Je suis certain que si le vote des règles européennes était fait par référendum dans tous les pays la constituant, l'Europe des 22 n'existerait plus. Ce serait bien domage.

L'économie Américaine et internationale en déroute.

Les chefs d'Etats quels qu'ils soient sont peu enclins à gérer l'économie. Ils ont confondu vitesse et précipitation dans la réponse à apporter à la crise. Il est vrai également que lorsque l'on écoute les économistes de tous bords, il racontent le vrai et son contraire selon leurres analyses. Il y a t-il un seul analyste économique sur la planète terre capable de présenter une analyse FIABLE de cette PAGAILLE économique sans précédent. Actuellement tous les États ont promis de donner ou prêter de l'argent, voire faire des garanties aussi véreuses que ceux à qui ils veulent les apporter. Et tout cela avec l'argent qu'ils doivent eux-mêmes emprunter, car ils ne le possèdent pas. Maintenant aux États Unis d'Amérique devant le refus du Sénat de prêter à nouveau aux industries automobiles en "crise", les grands "responsables" politiques conscients de leurres erreurs face à la crise et surtout dans leur panique pour tenter une réponse, veulent en changer les bénéficiaires ou tout au moins partager le gâteau avec d'autres qui viennent quémander à leur tour. Quelle pagaille.....quel triste constat d'incapacité à très hauts niveaux des responsabilités...honte aux économistes.

Maintenant ce sont les multimilliardaires qui se sont abonnés à l'assistanat. Et tout cela pour ne pas déplacer leurs milliards de bénéfices antérieurs qu'ils ont placé dans les paradis fiscaux, au cas ou çà deviendrait plus grave.

Les seuls capables de sortir le monde de la crise, ce sont eux ces riches au soleil. Bill Gatte, lui a vu venir l'orage, il a planqué ses capitaux au soleil et s'est retiré des grandes responsabilités avec une fortune de quelques 55 milliards de dollars, mais il conserve tout son prestige car il est le seul capable de continuer à conseiller Microsoft. Combien comme lui vont le faire ? Ça va défiler les abandons de postes de ce genre.

On aura tout vu dans ce monde de spéculateurs à grande échelle et de boursicoteurs véreux . Et de ces chefs d'Etats incapables de les contrer.