mardi 25 mai 2010

Réformer les retraites , oui. Hypothèses de travail.

En réalité, c'est beaucoup plus complexe qu'on ne le pense.
Le recul de l'âge de la retraite se ferait de 3 mois par an, soit 12 ans pour aboutir à un recul de 3 ans (à 63 ans en 2012). Pour que ce changement reste "rentable" pour la CSS il faudrait continuer après 2012 de reculer l'âge de la retraite du différentiel annuel concernant le gain d'espérance de vie, soit encore de 9 années supplémentaires, puisque l'espérance de vie a augmenté de 12 ans depuis la création de la sécu. Si on l'augmente encore de 3 mois par an cela fait 36 ans encore à reculer l'âge de la retraite pour atteindre 72 ans en 2048. Et je ne fais pas le lissage du gain d'espérance de vie d'ici là, car il faudrait encore ajouter au moins deux mois par an. Autant dire que d'ici 2060 la retraite serait acquise à l'âge 75 ans.
Sous hypothèse, je pense que dans le cas précédent, il faut laisser le droit à la retraite à 60 ans avec 42 ans minimum de côtisations dès 2013. Puis calculer cette décôte en fonction du nombre d'années de côtisations que décidera le gouvernement. Si ce nb d"années de côtisations est de 46 ans en 2020 et que la personne n'a que 42 ans de côtisation, la décôte sera de 12,5 %, donc celle-ci n'aura que 38,5 % brut de pension par rapport à la moyenne de ses salaires bruts ou du plafond de référence et ainsi de suite .
Quant àla surcôte en fonction d'années suplémentaires proposée par le ps, ceci n'a aucun intérêt pour sauver le régime de retraite par répartition puisque l'élévation de l'espérance de vie augmenterait le coût durant le nombre années de vie restant à bénéficier de la retraite.

Seconde hypothèse, augmentation des côtisations. Je ne crois pas à la possibilité actuellement d'augmenter les côtisations sans risquer de faire chuter le pouvoir d'achat ou alors il faudrait une compensation immédiate par une augmentation égale des salaires, pensions et retraites, ce qui actuellement est peu probable.

Troisième hypothèse (cumulable avec les précédentes) créer un deuxième prélèvement obligatoire pour une seconde caisse complémentaire pour compenser les pertes par les décôtes.

Quatrième hypothèse , possibilité de déplafonner les côtisations. Difficile, car il faudrait augmenter également les retraites si on reste au même pourcentage de 50% brut du plafond.

Cinquième hypothèse, baisser le pourcentage brut de référence pour calculer la retraite. Par exemple, passer à 40% brut au lieu de 50 %. Ce qu'ont fait certains pays.

Sixième htpothèse, prendre en compte pour tous les salariés (publics et privés) de toutes les années de côtisations pour établir la moyenne.

Non exhaustif.... Je pense qu'il faudra conjuguer petit à petit toutes ces propositions.

lundi 17 mai 2010

Le nouveau Capitalisme attaque.....les Etats contrent, les citoyens trinquent

Travailler plus pour gagner plus (avec un salaire horaire moindre), travailler plus pour produire plus et le moins cher possible, travailler plus pour augmenter la marge des bénéfices afin que les entreprises puissent en investir un peu plus dans la bourse pour augmenter leurs profits, travailler plus longtemps pour avoir droit à une retraite à minima, planifier toutes les retraites au même niveau ( le bas évidemment). Et le chômage là dedans, que devient-il ?
Serions-nous revenu aux pioniers du capitalisme ou l'Homme alliéné au travail n'est qu'un "outil" de production d'un coût minima ( le salaire) ne lui servant qu'à se nourrir pour le maintenir en forme afin de servir au mieux son patron et quand il ne sert plus, ou devient trop cher, lui attribuer un minimum de retraite pour lui assurer un minimum de survie.
Serions nous revenu à la lutte des classes où le capitalisme se sert de l'Homme uniquement comme outil de production et de profits ? Mais actuellement les politiques des chefs d'Êtats et des patrons qui tentent de relancer le capitalisme par l'aliénation de l'homme au travail sont coincés par la dominance des profits boursiers. La lutte est inégale voire inadmissible car tous les citoyens qui espèrent et ont foi en l'avenir sont perturbés et il ne faut pas s'étonner que l'intolérance gronde.
Notre Président a de bonnes intentions quand il prétend que seul le travail est un moyen d'existence pour la majorité des Français ( "le travail est le prolongement de lHomme" disait pardoxallement Karl Marxs) Coïncidence ?? Mais notre Président n'avez pas connaissance semble -t-il d'un nouveau capitalisme sournoi, par lequel le travail ne sert qu'à engranger des profits qui ne seront plus comme autrefois réinvestis dans des nouvelles entreprises encore plus proléfiques, mais dans un système boursier plus ou moins "mafieux" .Les attaques boursières étant dirigées contre les monaies afin de déstabiliser les gouvernements et encore amoindrir leurs économies, donc leurs inffluences. Ainsi dvenir les maîtres de la finance et des économies internationales. Bon courage messieurs les chefs d'Êtats. Mais attention juqu'à quand la tolérence des citoyens . J'espère que le dialogue sera toujours bien ouvert.
Je penses également que tant que les principales banques ne seront pas à nouveau nationalisées, nous ne sauront toujours pas comment transitent les finances qui servent les boursicoteurs mafieux qui détruisent les économies sans vergogne et sans sentiment pour les citoyens honnêtes qui en souffrent et en souffrirons des décennies. Si l'on veux sauver tous les systèmes sociaux existants qui ont aidé la société à prospérer - grâce au travail de tous et celui-ci convenablement récompensé depuis quelques décennies, il faut avant tout, non pas supprimer le capitalisme, mais le rendre humainement acceptable pour l'humanité toute entière. Sinon ce système s'auto-détruira comme se sont détruites toutes les anciennes civilisations très avancées à leur époque. Comme le nouveau capitalisme mafieux, les classes dominantes avaient considéré l'Homme dans sa grande majorité comme un ensemble d'idiots culturels au service de tous les seigneurs et maîtres. Un système social, équilibré et harmonieux, digne de ce nom, n'existe que si les capitalistes de la haute finance considèrent tous les êtres comme des individus en devenir, libres et égaux, et non pas seulement comme un recours éventuel à la base de leurs profits pour d'autres magouillent financières virtuelles, dont la bourse, dans lesquelles seul l'argent est considéré comme acceptable parce que lui seul procure la puissance et la gloire. Oui il faut déclarer la guerre à tous ces destructeurs d'économies.Le seul moyen : découvrir les sources de base de leurs profits, où sont placés leurs finances, comment elles fructifient, comment elles circulent, les sommes déplacées, les périodes favorables, qui s'entend avec qui, qui cache qui, qui achète quoi pour le revendre à qui. Vaste programme. La nationalisation des dix plus grosses banques internationales serait un premier pas le reste suivra aisément. Mais quels Chefs d'Etats dans les société capitalistes oseront faire ce premier pas ?
Oui il ne suffit pas de légiférer sur les retraites et pensions (Ceci peut se faire )encore faut-il crever aussi l'abcès du capitalisme, sinon la récession par le chômage et le manque à gagner des citoyens risque d'entraîner des mouvements sociaux internationaux sans précédents.

vendredi 14 mai 2010

Les apérifs de masse, un phénomène identitaire manipulé par les traficants utilisant facebook comme réseau

Un bon arrosage à la lance à incendie aura vite fait de les faire décamper.
Tous ces gens sont manipulés par les marchés parallèles de l'alcool et de la drogue.
Les élus, la police, et toutes les autortés sont dépassés par l'usage par les traficants de tous les nouveaux systèmes de communication. Ceux-ci sont exploités par des groupes bien organisés qui jonglent par l'intermédiares de pseudos amis en faisant suivre l'information de façon incontrolable. Les poltiques tentent d"ailleurs d'utiliser les mêmes réseaux lors des campagnes électorales pour abreuver les internautes de leurs boniments de campagne. Un peu de patience tout comme les blousons noirs, les hippies, et tous les autres ces jeunes en recherche identitaire se "caseront" et le phénomène disparaîtra.

Chaque génération a tenté de se faire reconnaître par des excès de toutes sortes. Par contre la police n'hésitait pas à se servir des moyens adéquates pour maîtriser la situation et y parvenait sans que personnes ne critique leur intervention comme cela se produit maintenant.



Il faut donc limiter les excès dangereux dans ces manifestations . Si elles sont interdites, allez un bon arrosage à la lance à incendie pour leur rafraîchir les idées. Ils auront vite fait de déguerpir et cela évitera en grande partie leur organisation dite "sauvage".

samedi 8 mai 2010

LA SEULE SOLUTION, DEVALUER L'EURO

Il faut dévaluer l'euro de 20% afin de favoriser les exportations européennes, ceci diminuera le chômage, améliorera le pouvoir d'achat, relancera la consommation, améliorera les recettes sociales voire fiscales.
Pourquoi injecter des milliards dans la bourse pour soutenir l'euro qui pénalise tout ce qui peut-être amélioré en le dévaluant. L'euro n'est pas une monnaie reconnue pour les échanges internationaux, le dollars reste le maître il faut contrer l'inffluence internationale du dollars.
Il faut vérifier tous les comptes bancaires pour voir enfin à qui profite la crise. Je pense que nous aurions des surprises en découvrant qui trempe dans quoi. Mais pour cela il faudrait nationaliser les 10 plus grosses banques internationales et surtout dans les paradis fiscaux. Nos chefs d'Êtats oseront-ils un jour ? J'en doute vu les échecs des décisions successives du G7.

jeudi 6 mai 2010

Avenir rose ou maurose ?

Le séisme économique provoqué par les nantis internationux reprend de plus belle. Soubressauts boursiers, chômage élevé, déficit public, délocalisations, faillites d'entreprises et maintenant faillites d'Êtats... Il y a trop d'élus politiques dans notre monde qui ne sont pas formés pour les postes de responsabilités qui leurs sont attribués. Même nos experts en économie sont complètement débousslés car ils ignorent où se trouve l'argent des plus fortunés et encore moins ce qu'ils en font et par quels circuits leurs fortunes circulent. Alors pensez bien que nos "pauvres" élus, bons bonimenteurs mais piètres économistes font de la gestion au jour le jour. Ils n'ont plus la possiilité d'un lissage prévisionnel comme celà se faisait autrefois pour envisager les mesures éconmiques à prendre. La seule mesure possible pour nos ministre c'est de bloquer l'évolution des dépenses, voire les diminuer. Mais est-ce de la gestion ? Au mieux avec les budgets publics relookés, les choix de dépenses seront différents, mais comment faire les bons choix ? Qu'est-ce qu'il faut développer ? Qu'est-ce qu'il faut supprimer ? Y a t-il un super élu pour faire un dianostic correct de la situation et un pronostic sur l'évolution ? Que nenni ! Le paquebot Europe chavire dans la tempête économique parce que la barre est mal tenue par des élus qui contre le vent des fortunés du privé du monde perdent la boussole. Le navire ne sait plus quelle direction prendre et devient incontrôlable. Alors les citoyens qui ne parlent pas la même langue, n'ont pas les mêmes us et coutumes, et pas les mêmes valeurs sont accusés. Ils sont accusés d'être les auteurs du risque de naufrage et se voient attribués une punition "bloquage voire diminution de leurs revenus, " d"autres sont jetés à la mer "licenciements" d'autres encore ne seront jamais pris dans l'équipage "les chercheurs d'emplois " Quant aux anciens marins "les retraités présents et futurs" devenus trop tôt des improductifs trop onéreux semble-t-il, ils seront spoliés de tous les aventages acquis. Vive le paquebot Europe, que l'on pensait le plus beau, le plus solide, l'imprenable. Vive le progrès qui nous conduit au sans emploi, vive la science pour nous avoir permis de survivre toujours plus longtemps. Mais dans quelles conditions ? Nul ne sait et encore moins encore nos trop nombreux politiques toujours sur d'eux dans la tempête économique. Bon, ne soyons pas trop caustiques les hommes et les femmes politiques ne sont pas des professionnels de l'économie, tout au plus ils font pour le mieux. Surtout dans les pays gouvernés par la gauche dont les résultats sont probants.... sic ! ? ! ? ! ......

mardi 4 mai 2010

Risques "d'implosion économique " de l'Europe

L'euro une erreur ? Maintenant tous les pays ayant opté pour l'euro ont cru au miracle économique. Si chaque pays avait respecté la barre de 3% de déficit s'eut été parfait. Malheureusement chaque pays a cru bon de s'endetter en s'octroyant un développement économique à crédit et en pensant que les pays les plus riches de la zone euro viendrait à leur secours en cas de fragilité économique. Les gouvernements de gauche ont ouvert le gouffre de l'assistanat et des surenchères dans les services publics. Si la France avait était gouvernée par la gauche elle en serait au même point que la Grèce, l'Espagne, le Portugal etc.... Heureusement contre vents et marées Monsieur Sarkozy malgré quelques erreurs d'appréciation dans la gestion de la crise a su limiter les dépenses publiques et fait des changements qui ont pu en ces temps difficiles maintenir au mieux notre économie. Il est temps de s'attaquer aux grands spéculateurs qui pourrissent la société pas le JEU boursier au lieu de miser sur lla rentabilité de leurs entreprises par le capital travail. L'heure a sonné de pourchasser tous les trafiquants de toutes natures, sans répit et sans faiblesse. Redonner aux hommes leurs vertus et leur dignité : sagesse, amour, courage, fierté, discipline, harmonie, équilibre...Limiter le seuil de la richesse acquise par an et faire une redistribution à ceux qui ont permis, par leur travail, l'acquisition des bénéfices en excès. Et surtout taxer très toutes les excessives transactions boursières.Il faut également autoriser tous les pays de la zone euro en très grande difficulté économique de sortir de le l'Europe afin qu'ils retrouvent toute leur capacité de gestion. Les aider en les maintenant dans l'Europe risque à tout moment de créer une "implosion" de l'ensemble des pays qui la constitue en fragilisant considérablement l'euro.

L'Europe assiste la Grèce en faillite est-ce raisonable ?

Par solidarité et dans la crainte d'une chute vertigineuse de l'euro sauver l'économie de la Grèce par un prêt Européen abyssal est-ce raisonnable ?
Je pense que la Grèce aura tellement de difficultés à rembourser ces divers prêts qu'elle s'enfoncera toujours un peu plus. Alors dans un premier temps devant le surendettement de ce pays l'Europe accordera un étalement de cette dette sur une période plus longue. Puis dans un deuxième temps elle effacera une partie de cette dette contre de nouvelles obligations restrictives dans la gestion de son économie. Enfin dans un troisième temps alors que la Grèce se sera encore un peu plus enfoncée dans la faillite sa dette sera levée par tous les pays qui lui ont prêté cet argent. La Grèce quittera le marché commun et retournera à ses difficultés de naguère sans que personne ne puisse plus l'aider.
Seul le retour au plein emploi dans ce pays peut le sauver, mais face à la crise seule des restrictions drastiques sur les salaires, pensions et retraites vont momentanément donner un ballon d'oxygène. Alors une crise sociale sans précèdent va mettre ce pays dans l'incertitude et une instabilité grave risque de se produire. Ceci risque d'entrainer des remous dans l'Europe toute entière. Certains pays accuserons les autres d'avoir agi trop spontanément par un prêt abyssal à la Grèce sans garanties suffisantes de permettre à ce pays de s'en sortir. L'Union Européenne va vers une dramatique instabilité sociale. Le contraire du pourquoi l'Europe économique a été instituée.
Une fois de plus sera démonté que l'assistanat même à ce niveau ne construit pas l'avenir mais enfonce les pays qui reçoivent ces subsides de plus en plus vers le chaos économique et social.
D'autres pays de l'Europe économique ont de grandes difficultés économiques nous ne pourrons les aidés tous sans risquer de mettre nos propres économies dans le rouge.
Il faut ramener l'Europe à sa véritable raison économique, sociale et de stabilité entre les peuples qui la compose. Laissons les pays qui en bafouant les règles s'en soustraire jusqu'à leur stabilité économique et sociale revenue. L'Europe n'a pas les moyens de gaspiller le peu de deniers de réserve qu'il lui reste car même ses récents élus risquent à un certain moment d'être pris pour cible alors que deviendra l'Europe politique ? Je crains que la majorité politique de l'Europe devienne extrémiste si les électeurs européens sont trop déçus par la récession sociale que l'union Européenne a engendrée.