vendredi 24 octobre 2008

Guerre économiqque entre les fortunes du monde, récession; crise grave, dure et durable.

Les signes prémonitoires de la crise sont les poussées de chutes des bourses internationales qui s'aggravent après chaque période de rémission. Quand la bourse chutera et ne remontera plus, le CAC 40 sera aux environs de 2300. Alors nous serons en phase" d'état " de la récession. Mais le pique de la chute du cac 40 surviendra vers la fin décembre 2009. La phase d'état durera environ 2 ans. Elle sera excessivement grave et exigera des remèdes puissants. La période de rémission définitive n'apparaîtra que fin 2010. La bourse reprendra des couleurs avec des poussées inverses vers le haut. Cette crise sans précedent laissera beaucoup de victimes derrière elle, dont quelques fortunes mal acquises(spéculation, drogue,pouvoirs dictatoriaux....) Des soubressauts persisteront pendant au moins 5 à 10 ans.
Le monde sera épuré de tous ces mécréants et nous aurons quelques années de bonheur de vivre. Soyons patients.
Ce n'est qu'une guerre économique que se livrent les grandes fortunes de ce monde. D'un côté les mécréants de l'autre ceux qui ont gagné leur fortune par le travail. Au centre ceux qui reçoivent les coups "les citoyens qui n'ont pas l'arme de l'argent pour se défendre" . Tout ce que j'ai écrit jusqu'à ce jour sur la crise se réalise mais j'espère me tromper et je m'en ferai une joie.

jeudi 16 octobre 2008

solidarité des retraités

Bel exempe de solidarité par les anciens

Je tire mon chapeau aux retraités. Une fois de plus les anciens démontrent que les bavardages ne servent à rien. Les anciens de mai 68 qui avaient obtenu 30% d'augmentation grâce à une une mobilisation sans précédent. Je pense que le gouvernement tiendra compte de cette courte et quelque peu modeste mobilisation car la prochaine sera beaucoup plus forte. En souhaitant le maintien du pouvoir d'achat des retraités d'aujourd'hui, c'est la sauvegarde des acquis pour les futurs retraites des salariés actuels que les anciens tentent de soutenir. Bel exemple de solidarité pour la jeunesse.

bataille politique, économique, et financière à qui profite la crise? qui provoque la crise ? qui peut gagner cette bataille et comment ?

La nullité des réponses de nos responsables politiques internationaux à la crise boursière est proportionnelle à leur méconnaissance des fonctionnements des échanges internationaux. Qui fabrique quoi? où ? quand? comment? pourquoi ? Qui gagne beaucoup d'argent ? Comment ?Qui profite d'une crise ? Quelle qu'elle soit ? QUI PROFITE DE LA CRISE BOURSIERE ? Car dans une crise il y a toujours des grands gagnants et de fait de grands perdants. Quels sont les dessous politiques de cette crise ? Une élection dans un pays déjà en crise ????? Qui veut influencer le débat, les promesses, les accords préélectoraux des grands candidats ?? Quelles sont les très grandes fortunes qui ont tout à gagner ou à perdre dans cette future élection ?
La bourse n'est qu'un outil d'influence. La chute de l'économie voire la récession sont contrôlées par quelques "plus grandes fortunes internationales" qui représentent 95% de l'économie mondiale concentrés sur 5% de la population de l'univers. Ils sont capables de provoquer l'augmentation considérable des matières premières pour des raisons occultes, l'augmentation du chômage par des délocalisations vers des pays à main-d'oeuvre surexploitées pour des raisons de maintien des profits faramineux de leurs entreprises, de faire élire qui ils veulent où ils veulent, de faire chuter les économies, de restreindre les pouvoirs d'achat des peuples, quand ils veulent, où ils veulent...Ces quelques riches qui détiennent l'argent du monde " ont déclaré une " bataille économique et financière sans précédent". Ils se JOUENT" des politiques, car ils connaissent leur incapacité à réagir lors de leurs attaquent. Ils détiennent l'arme fatale "L'ARGENT", et tous les outils qui l'accompagnent pour le gagner. Ils pensent arrêter la crise quand tous les grands responsables politiques et les futurs élus auront mis pied à terre. MAIS GAGNERONT-ILS CETTE BATAILLE ? NON ! non si tous les peuples du monde font front en s'unissant et en les obligeant à partager une partie de leurs ENORMES capitaux investis dans des placements spéculatifs, ou au fond de coffres bancaires, dans l'immobilier des sites ou villes à hauts revenus, dans les pays paradis fiscaux, dans les matières premières, dans l'agro-alimentaire..... Si tous les chefs de gouvernements n'apportent pas une réponse socio-économique importante pour calmer les esprits "anxieux " qui n'ont plus confiance en rien, cette "bataille socio-économico-financière risque de dégénérer. Au profit de qui ? au détriment de qui ? pour combien de temps ?
Messieurs les chefs de gouvernements vous avez une carte en main - LE POUVOIR - redonner la confiance au peuple qui se sent délaissé, ne la laissez pas tomber cette carte. Contre le "pouvoir de l'argent" de ces trop richissimes guerriers, utilisez votre " POUVOIR POLITIQUE" pour redonner ou maintenir un pouvoir d'achat auprès des peuples, en prenant une partie de ces fortunes pour les redistribuer à ceux qui n'ont plus où n'auront plus de quoi survivre même en travaillant, aux malades, aux handicapés, aux chômeurs aux retraités. Oui les hauts politiques détiennent le pouvoir, qu'ils sachent s'en servir et ils gagneront cette bataille au profit des peuples. Sinon ils seront discrédités pendant de nombreuses années , et gare aux loups garous qui se cachent derrière cette crise, ils sont féroces et voraces.

IL FAUT REDISTRIBUER UNE PARTIE DE CES GRANDES FORTUNES à CEUX QUI PERDENT CONFIANCE EN TOUT, CAR ILS NE VIVENT PLUS DECEMMENT OU ONT PEUR DE NE PLUS VIVRE DECEMMENT.

Messieurs les politiques relisez la constitution et appliquez la.

mercredi 15 octobre 2008

Les États se sont trompés et la France encore plus. Redonner confiance aux Français

Pour redonner confiance aux Français il faut:


Les premières mesures à prendre

- Prêter les milliards d'€ aux petites et moyennes entreprises plutôt que de les
avancer, "à perte très sûrement" , aux banques véreuses, en jouant un coup de Poker "menteur" sur leur devenir.

- Augmenter les salaires et les retraites de 15 à30%

- Baisser la TVA de 5%

- Dynamiser les nouvelles sociétés productrices d'emplois.

Le coup de poker " menteur" de quelques milliards d'€ à été double :

1 - Tenter de marginaliser encore plus les partis de gauche car tout le monde savait qu'ils ne voteraient pas ce choix
2 - Répondre aux riches actionnaires des banques que l'Etat sera toujours là pour les sauver de la banqueroute

Il eut suffit de garantir les placements jusqu'à 200000 Euros par personne et tout rentrait dans l'ordre.
Mais il ne faut pas oublier les mesures d'urgence préconisées ci-dessus

lundi 13 octobre 2008

dimanche 12 octobre 2008

Les Etats se trompent de réponses dans la crise boursière

Les grandes banques tiennent les États à leurs pieds.

Autrefois les grandes entreprises internationales avaient un pouvoir considérable sur les gouvernements, il suffisait qu'elles menacent de chômage pour que les responsables politiques se plient à leurs desiderata. Maintenant ces mêmes entreprises ont acquis des capitaux faramineux grâce à des spéculations boursières. Alors les grandes banques internationales où se trouvent placés les capitaux des plus grandes entreprises du monde gèlent leurs liquidités et ne viennent plus en aide aux banques qui ont tenté malheureusement de s'enrichir avec des spéculations boursières et immobilières. Les grandes entreprises de travaux publics et du bâtiment ont été payées par les larges prêts à hauts risques financiers par ces banques qui maintenant se retrouvent en "banqueroute". Ces grands patrons eux n'ont aucuns problèmes même si les emprunteurs ne peuvent rembourser, les banques ne leurs reprendront pas l'argent, même si elles se saisissent des biens des emprunteurs qui ne remboursent plus. Donc ces grands PDG se sont enrichis tout en faisant prendre des risques inconsidérés par les banques qui avaient peu de liquidités. D'ailleurs ces PDG ne placent leur argent que dans les banques qui ont beaucoup de liquidités et qui font peu de prêts. Ce sont ces mêmes banques qui maintenant obligent les États à tenter de spéculer (ils espèrent en tirer un grand profit dans la revente de leurs actions) sic, en les incitant à recapitaliser les banques en déconfitures par mauvaise gestion. Comme ces grandes banques gèlent les crédits, même à leurs pauvres consoeurs, elles deviennent les maîtres du monde et tiennent TOUS les chefs de gouvernement à leurs pieds. Mais attention en cas de crise majeure il se peut qu'elles-mêmes se trouvent piégées par l'achat par tous les particuliers de biens de placements qui court-circuitant les banques achèteront des tableaux de grands maîtres, du mobilier de style d'époques de très grande valeur, de très belles voitures de collection,de l'or, voire des achats de terrains dans des terres lointaines etc... tout en vendant leurs actions.

Mais les problèmes majeurs à redouter ce sont les faillites des moyennes et petites entreprises qui n'ont aucunes liquidités . Pourquoi "redouter" ? Actuellement ce sont toutes ces petites entreprises qui limitent le chômage. Beaucoup font de la sous-traitance et leur faillite risque aussi de se retourner contre les grandes entreprises qui leur soumissionnent du travail. C'est un cercle vicieux dont personne ne peut imaginer l'ampleur.

Que faut-il faire ?

LAISSER LES GRANDES BANQUES INTERNATIONALES GERER LA CRISE. Ne pas plier car ce sont elles qui détiennent d'énormes capitaux, elles auraient bien fini par le sortir un jour sous peine d'asphyxier par manque de rentrée de liquidité. Leurs gros actionnaires auraient été OBLIGES de réagir car ils vivent aussi en grande partie des revenus de leurs actions . Sans rentrées de liquidités, plus de bénéfices. Surtout si la crise boursière, comme je le pense, continue de s'amplifier.

Tout pouvait se réaliser seul sans que les États déboursent le moindre centime. Nos chefs d'Etats sont piégés, leur argent ne rentrera JAMAIS. Mais ce sont avant tout, toutes les classes moyennes qui en souffriront, car ce sont elles que les gouvernements feront payer pour rembourser les dettes.
Ces milliards distribués par les États ressemblent aux subventions données par les collectivités locales ou territoriales pour soutenir des entreprises, qui trois ans après mettent le clef sous la porte et délocalisant à l'étranger sans jamais rapporter un centime aux collectivités, tout en accroissant le chômage locale de surcroît.

Je maintiens que ces interventions des États sont des erreurs, sauf si ils nationalisent TOUTES les banques. Mais dans ce cas c'est la chute du capitalisme. Mais pas nécessairement de l'économie de marché. Celle-ci n'a plus rien à voir avec des politiques de droite, il suffit de se tourner vers la Chine pour en avoir l'explication. Le problème c'est qu'un État qui gère toute l'économie et les finances devient un État totalitaire et ce serait encore pire pour les citoyens.

ALORS, laissons les grandes banques autoréguler cette crise tout en augmentant considérablement leurs impôts pour en redéployer une grande partie envers les plus démunis. Elles sont capables de le faire, elles sont obligées de le faire si elles veulent elles-mêmes survivre à cette crise.

Il faut que l'argent qui rapporte de l'argent sans l'intervention du travail soit taxé au maximum. Sauf peut-être pour les "petits" placements dans l'immobilier qui eux fournissent du travail, n'enrichissent pas, et permettent de loger ceux qui n'ont pas les moyens de devenir propriétaires ou ceux qui ont leur emploi éloigné de leur domicile.

De grâce, il faut que les États ne s'affolent pas, ne se précipitent pas et observent mieux ce qui se passe et pourquoi.

jeudi 9 octobre 2008

mercredi 8 octobre 2008

face à la crise boursière des économistes de tous bords font surface mais sont-ils compétents ?

Télévision, radios, journaux.. pas une minute ne se passe sans qu'un invité " économiste" sic analyse et commente la crise économique internationale. Mais où étaient-ils avant ces grands analystes ?

Chacun a une interprétation différente de ce qui arrive. Ceci démontre que la dérégulation de l'économie internationale par les spéculateurs en tous genres provoque un tel "BOURBIER" que personne n'est actuellement capable de savoir ce qui se passe.

En réalité le monde se réveille d'un onirisme délirant sur la seule capacité de gagner de l'argent avec de l'argent, sans réellement connaître la solidité financière des entreprises cotées en bourse et envers lesquelles les malheureux, mais surtout abusés petits boursicoteurs placent leur confiance . Pour les gros boursicoteurs je ne m'inquiète pas pour eux, ils ont bien d'autres moyens de gagner de l'argent....

La perte de 5 milliards d'euros par un tracker sans que personne ne s'en aperçoive a, je pense, été le détonateur de la mise à nu des réels bilans des banques. Celles-ci ont dû vérifier leurs comptes et s'apercevoir enfin qu'il y avait de nombreuses inconnues dans la gestion de leurs capitaux.

Les petits épargnants ont commencé à ce moment là à se gratter l'oreille en doutant du crédit de confiance à accorder à leur banquier et à la bourse. Ils ont senti que la réalité n'était pas cette embellie que leur faisait croire leurs conseillers financiers.

La crise aura au moins le mérite de rendre l'être humain moins crédule face aux sirènes malveillantes de certains capitalistes malhonnêtes et sans scrupules.

Mais au fait, à quoi sert un économiste ? prévoir , anticipé la réussite des fondements de chaque type d'économie , ou analyser coûte que coûte les problèmes quand tout va mal sans même connaître toutes les données ? ni l'un , ni l'autre, car ils réagissent subjectivement à des données subjectives. Il n'y a rien de concret dans leurs discours, mais malheureusement ils sont maîtres à bord car soit disant les plus instruits dans ce domaine politico-socio-économique. Alors le monde réagit car il n'a plus confiance en personne.

Espérons que la crise économique internationale s'arrêtera à une déconfiture boursière... mais j'en doute. J'espère que nos responsables politiques sauront, eux, anticiper de très graves évènements. Mais là aussi je doute. Un période d'intolérance est grave et durable. J'espère au moins qu'ils ont connaissance de ce genre de réaction dramatique pour les peuples.

Nationalisation des banques françaises ???

Il est devenu quasi impossible de nationaliser les banques françaises car elles ont de ramifications de liquidités, de prêts, de biens immobiliers, de placements boursiers ......internationaux.
De plus il faudrait doubler, voire tripler le déficit de la France. En cas de guerre c'est possible, en cas de crise économique et financière majeure c'est également possible. Mais nous grevons le pouvoir d'achat des Français pour au moins 25 à 30 ans.
De toute façon il faut attendre que les côtes boursières soient le plus bas possible pour le faire.
Je pense que ce sera le cadeau de noël pour l'Etat, elles auront revendues la plupart de leurs biens immobiliers et seront quand même au plus bas de leurs trésoreries. Leurs côtations boursières seront tellement bas quelles seront suspendues. Il sera alors intéressant de les nationaliser.
L'autre moyen c'est de laisser couler les banques les plus endettées tout en garantissant la sauvegarde des comptes courants et des placements déjà garanties par l'Etat, tels les livrets caisse d'épargne...
En ce qui concerne les assurances il faut également que l'Etat garantisse la sauvegarde des placements retraites.

mardi 7 octobre 2008

la bourse s'effondre ,on se mare

Les plus grosses fortunes du monde tremblent, je dirais même qu'ils trémulent, ils transpirent jusqu'à la déshydratation tant ils sont imprégnés de leur drogue spéculative. Ils sont en manque.....de spéculo-boursico-bénéfices. Pendant ce temps ont se mare car il n'y a absolument aucuns dangers pour les petits épargnants qui de toute façon retirent petit à petit leurs maigres placements pour survivre, tant leur pouvoir d'achat a été effondré par tous ces magnas du gagne facile. Alors sincèrement ON S'EN FOUT que la bourse s'écroule, au moins nous reviendrons sur des valeurs humaines, ouf ! Par contre, nos responsables vont nous abreuver de taxes et de nouveaux impôts pour sauver leurs propres placements, car dieu sait s'ils en ont tous nos responsables politiques de tous bords des gros placements boursiers.

lundi 6 octobre 2008

Les très riches spéculateurs, ils paniquent, tant mieux. L'argent mal acquis se retourne contre tous ces filous, ne les plaignons pas.

Ils n'ont que ce qu'ils méritent. Tous ces spéculateurs qui n'ont pour but que la recherche de profits faciles. Le grave problème c'est que des gouvernements stupides vont engloutir des pans d'économie entiers dans des pseudo-sauvetages qui en réalité ne feront que maintenir l'extravagant train de vie de ces manias des profits boursiers. Mais par contre cette distribution de l'argent des contribuables risque de provoquer un séisme financier des États et paupériser encore plus TOUTES LES POPULATIONS du monde.
Les banques ne doivent être que des services pour l'homme. Il faut que l'argent passagèrement ou durablement placé en banque serve à la survie de l'humanité , directement ou indirectement, à l'aide à l'emploi. En fournissant aux hommes en leur prêtant de l'argent, les moyens d'échanges productifs de revenus par le travail et non pas par la spéculation. Celle-ci avilit et finit par corrompre ceux qui s'enrichissent en souillant le monde de malversations frauduleuses. Voire même plus, elle peut détruire les valeurs sûres de l'homme : l'honnêteté citoyenne, la fraternité et l'égalité dans les réponses aux besoins des êtres humains.
Laissons les spéculateurs se prendre dans leurs propres pièges. Il faut assainir le monde de la finance. Laissons tous les mauvais profiteurs se saborder et les honnêtes gens se porteront mieux.