mardi 4 janvier 2011
Ces médicaments qui nous empoisonnent...
On dit tout haut maintenant ce que la plupart des médecins savez et pensaient tout bas. Par contre prescrire un nouveau médicament pour un médecin lui donne une certaine notoriété médicale auprès de ses patients. J'ai une expérience personnelle actuellement, on m'a prescrit de l'Efient, un antiagrégant plaquettaire alors que j'étais sous Plavix. Les études cliniques de ces deux médicaments les placent pratiquement à égalité dans leurs résultats hormis un léger avantage pour l'Efient qui provoquerait 1% d'hémorragies graves en moins. Ce médicament n'existe sur marché que depuis un an, donc nous avons très peu de recul pour juger de sa dangerosité et pourtant mon cardiologue insiste pour que je le prenne. Serait-il entr'ain de faire une randomisation à mon insu ? Je commence à me poser des questions et je vais régler ce problème au plus tôt car je suis très mefiant des soi-disant nouvelles molécules qui sont issues d'une ancienne connue à qui on a supprimé un radical libre. De plus, il faut associer impérativement cet anti-agrégant plaquettaire à l'acide acétylsalicylique ( aspirine , kardégic etc..) lui même antiagrégant plaquettaire. Lequel agit réellement ? le Kardégic ou l'Efient ? ou ne serait-ce qu'un effet de potentialisation de l'un par rapport à l'autre ? Tout n'est pas dit dans la quinzaine de pages d'information sur l'Efient. On peut le comprendre après si peu de temps d'expérimentation (1 an). La naturopathie qui dénonce tous ces "empoisonnements pharmaceutiques " a de l'avenir maintenant. Face à ces lobbies très très puissants que sont les laboratoires pharmaceutiques, les gouvernements ont très peu de chance lutter à armes égales.
Laboratoires pharmaceutiques et gouvernements en cause pour la mise sur le marché de médicaments à hauts risques
Tant que les randomisations des nouveaux produits se feront à coup de récompenses par des pseudos voyages baptisés "séminaires" dans des pays où les praticiens n'ont jamais mis les pieds, celles-ci peuvent elles être sérieuses ?. A l'époque où le Fonzylane a été mis sur le marché, les randomisations (essais thérapeutiques sur l'homme dits "essais cliniques" ) ne prévenaient pas systématiquement les patients sur lesquels étaient faits ces essais des risques encourrus. Nombre de médicaments étaient dits inutiles par les praticiens "randomiseurs"(surtout pratiquement tous les vasodilatateurs) mais ils étaient "vendus" disons prescrits par les médecins parce que les laboratoires abreuvés de voyages ou de cadeaux divers ceux qui les prescrivaient.
Sur 4000 médicaments vous pouvez en supprimer 3500 qui font double, triple, voire X fois les mêmes emplois, ceux qui ne servent strictement à rien, et tous ceux qui sont mélangés entre eux alors que parfois un ou deux des constituants sont inutiles voire dangereux pour celui qui les prend. Il faut que dans le Vidal TOUS laboratoires pharmaceutiques révèlent quels pourcentages de chaque risque ont été révélés lors des essais thérapeutiques, le nombre de personnes randomisées et combien de temps ont durés ces essais. Il y a encore peu de laboratoires qui révèlent le détail des essais thérapeutiques dans le Vidal. Et oui, la concurence fait rage entre les laboratoires pharmaceutiques. Les esais cliniques ne sont pas toujours très clairement expliqués aux autorités nationales compétentes qui s'empressent trop vite d'autoriser la mise sur le marché lorsqu'elles subissent des pressions par les médecins avident de lancer de nouveaux produits pour paraître "dans le vent édical" ces derniers critiques toujours le précédent médicament en disant qu'il est dépassé. Le problème est que souvent le nouveau médicament n'apporte rien de plus que le précédent pour la pathologie soignée. Alors que très très peu de nouvelles molécules sont découvertes le nombre de médicaments "dits nouveaux" croient à une vitesse fabuleuse.
Le vaccin contre la grippe H1N1 qui a été refusé par des millions de Français est cette année mélangé avec les vaccins de la grippe saisonnière, les Français l'ont bien compris et le nombre de vaccinés a chuté. Vous verrez que le gouvernement ne sera pas long à le rendre obligatoire pour grand nombre de personnes dites "à risques" afin de ne pas trop nuire aux laboratoires qui le fabriquent. Certes ce vaccin n'est pas un médicament mais le système de fonctionnement des labos qui le fabriquent est le même puisque ce sont les mêmes grands laboratoires qui fabriquent les médicaments.
Un patient a le droit de refuser un traitement auprès de son médecin s'il doute que la mise en évidence du profit pour sa santé lui semble dépasser les risques.
J'ai eu l'occasion de me voir tenter de passer en force une prescription par au moins 7 internes en cardiologie différents pendant mon hospitalisation. Et cela m'énervait tellement que mes pulsations montaient à 135/mn à cause de l'angoisse qu'ils me provoquaient en insistant et en m'annonçant des catrastrophes imminentes liées à ma pathologie. Cet énervement aurait pu me provoquer une mort subite. Bravo la psychologie de ces médecins. Mais il est vrai que malheureusement, très peu en ont, ce n'est pas dans les habitudes de leur activité.
Tout est à réformé dans le système de santé en France. Mais il y tant à faire que personne n'ose réellement s'y attaquer, surtout devant la puissance des pressions de nos praticiens auprès d'un gouvernement et nos habitudes de soins que l'on nous a inculqué en France depuis quelques decennies. Toujours demandeurs de plus de soins, plus de médcaments, plus d'investigations.... alors ???? qui osera faire une réelle réforme de fond ? Il faut au moins deux mandats législatifs pour la faire et en plus ne faire que cette réforme qui me semble fondamentale car notre système risque une telle explosion des dépenses de santé que l'économie en sera totalement perturbée. Alors qui osera ????
Sur 4000 médicaments vous pouvez en supprimer 3500 qui font double, triple, voire X fois les mêmes emplois, ceux qui ne servent strictement à rien, et tous ceux qui sont mélangés entre eux alors que parfois un ou deux des constituants sont inutiles voire dangereux pour celui qui les prend. Il faut que dans le Vidal TOUS laboratoires pharmaceutiques révèlent quels pourcentages de chaque risque ont été révélés lors des essais thérapeutiques, le nombre de personnes randomisées et combien de temps ont durés ces essais. Il y a encore peu de laboratoires qui révèlent le détail des essais thérapeutiques dans le Vidal. Et oui, la concurence fait rage entre les laboratoires pharmaceutiques. Les esais cliniques ne sont pas toujours très clairement expliqués aux autorités nationales compétentes qui s'empressent trop vite d'autoriser la mise sur le marché lorsqu'elles subissent des pressions par les médecins avident de lancer de nouveaux produits pour paraître "dans le vent édical" ces derniers critiques toujours le précédent médicament en disant qu'il est dépassé. Le problème est que souvent le nouveau médicament n'apporte rien de plus que le précédent pour la pathologie soignée. Alors que très très peu de nouvelles molécules sont découvertes le nombre de médicaments "dits nouveaux" croient à une vitesse fabuleuse.
Le vaccin contre la grippe H1N1 qui a été refusé par des millions de Français est cette année mélangé avec les vaccins de la grippe saisonnière, les Français l'ont bien compris et le nombre de vaccinés a chuté. Vous verrez que le gouvernement ne sera pas long à le rendre obligatoire pour grand nombre de personnes dites "à risques" afin de ne pas trop nuire aux laboratoires qui le fabriquent. Certes ce vaccin n'est pas un médicament mais le système de fonctionnement des labos qui le fabriquent est le même puisque ce sont les mêmes grands laboratoires qui fabriquent les médicaments.
Un patient a le droit de refuser un traitement auprès de son médecin s'il doute que la mise en évidence du profit pour sa santé lui semble dépasser les risques.
J'ai eu l'occasion de me voir tenter de passer en force une prescription par au moins 7 internes en cardiologie différents pendant mon hospitalisation. Et cela m'énervait tellement que mes pulsations montaient à 135/mn à cause de l'angoisse qu'ils me provoquaient en insistant et en m'annonçant des catrastrophes imminentes liées à ma pathologie. Cet énervement aurait pu me provoquer une mort subite. Bravo la psychologie de ces médecins. Mais il est vrai que malheureusement, très peu en ont, ce n'est pas dans les habitudes de leur activité.
Tout est à réformé dans le système de santé en France. Mais il y tant à faire que personne n'ose réellement s'y attaquer, surtout devant la puissance des pressions de nos praticiens auprès d'un gouvernement et nos habitudes de soins que l'on nous a inculqué en France depuis quelques decennies. Toujours demandeurs de plus de soins, plus de médcaments, plus d'investigations.... alors ???? qui osera faire une réelle réforme de fond ? Il faut au moins deux mandats législatifs pour la faire et en plus ne faire que cette réforme qui me semble fondamentale car notre système risque une telle explosion des dépenses de santé que l'économie en sera totalement perturbée. Alors qui osera ????
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