vendredi 12 décembre 2008

L'économie Américaine et internationale en déroute.

Les chefs d'Etats quels qu'ils soient sont peu enclins à gérer l'économie. Ils ont confondu vitesse et précipitation dans la réponse à apporter à la crise. Il est vrai également que lorsque l'on écoute les économistes de tous bords, il racontent le vrai et son contraire selon leurres analyses. Il y a t-il un seul analyste économique sur la planète terre capable de présenter une analyse FIABLE de cette PAGAILLE économique sans précédent. Actuellement tous les États ont promis de donner ou prêter de l'argent, voire faire des garanties aussi véreuses que ceux à qui ils veulent les apporter. Et tout cela avec l'argent qu'ils doivent eux-mêmes emprunter, car ils ne le possèdent pas. Maintenant aux États Unis d'Amérique devant le refus du Sénat de prêter à nouveau aux industries automobiles en "crise", les grands "responsables" politiques conscients de leurres erreurs face à la crise et surtout dans leur panique pour tenter une réponse, veulent en changer les bénéficiaires ou tout au moins partager le gâteau avec d'autres qui viennent quémander à leur tour. Quelle pagaille.....quel triste constat d'incapacité à très hauts niveaux des responsabilités...honte aux économistes.

Maintenant ce sont les multimilliardaires qui se sont abonnés à l'assistanat. Et tout cela pour ne pas déplacer leurs milliards de bénéfices antérieurs qu'ils ont placé dans les paradis fiscaux, au cas ou çà deviendrait plus grave.

Les seuls capables de sortir le monde de la crise, ce sont eux ces riches au soleil. Bill Gatte, lui a vu venir l'orage, il a planqué ses capitaux au soleil et s'est retiré des grandes responsabilités avec une fortune de quelques 55 milliards de dollars, mais il conserve tout son prestige car il est le seul capable de continuer à conseiller Microsoft. Combien comme lui vont le faire ? Ça va défiler les abandons de postes de ce genre.

On aura tout vu dans ce monde de spéculateurs à grande échelle et de boursicoteurs véreux . Et de ces chefs d'Etats incapables de les contrer.

Aucun commentaire: