lundi 20 février 2012
Des députés (100 environ ) ne se représenteraient pas aux prochaines législatives... .
C'est honnête de comprendre que plusieurs années de responsabilités de députation , voire deux mandats consécutifs, usent le raisonnement objectif face à la rapidité et le désemparante évolution économique, financière et sociale du monde. Il ne leur est quasiment pas possible de modifier l'axe fédérateur de leurs actions à l'Assemblée Nationale pour les uns ou au gouvernement pour les autres tant ils sont entrés dans un système de gestion de la France, qui d'ailleurs eur échappe souvent puisqu'ils se ralient à la pensée dogmatique de leur parti. On peut comprendre ainsi qu'ils en aient marre "d'obéir" à ces dogmes qui sans cesse dressent les uns avec leurs certitudes contre les autres avec des certitudes opposées. Ces différences de pensées pourraient-être une richesse dans l'évolution de la société française si elles étaient confrontées dans une réflexion commune afin d'en tirer le meilleur pour la France. Mais tant que ses opposants maintiendront fermement leur manière de pensée et d'agir la France sera toujours gérée par des élus qui n'auront qu'une hâte, celle de démonter voire démolir ce que les précédents élus auront légiféré. On peut comprendre ces nombreux désintérêts de cette centaine d'élus pour les prochaines législatives. C'est assez nouveau que nos élus ne s'accrochent plus à leur réélection, la "crise" et les incertitudes évolutives ont dû accentuer l'usure du pouvoir.
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