Samedi soir 30 octobre 2010 très violentes douleurs, j'ai des brulures atroces rétro-sternales. Je prend deux aspirines et un dafalgan. Les douleurs s'estompent et je peux dormir une partie de la nuit.
Dimanche 31 octobre les douleurs rétro-sternales reprennent mais moins vives, je pense à une gastrtrite.
Lundi 1er novembre les douleurs rétrosternales reprennent de plus belles, je prends du phosphalugel, un anti acide plus rien ne les calme.
Le mardi 2 novembre au matin les douleurs sont atroces, je téléphone à mon médecin traitant pour une consultation, il me propose d' aller à son cabinet à 20heures 30. Les douleurs devenant trop violantes, je téléphone en début d'après midi au CHU . Une personne en parle à un médecin, celui-ci téléphone à SOS médecin qui vient une heure après à (17 heures)
Ce médecin diagnostique une forte gastrite avec reflux oesophagien, avec également un signe Murphy positif . Ce reflux serait dû selon lui à un problème biliaire, mais il craint aussi une pancréatite. Il me prescrit un calmant pour la douleur, du mopral et du gaviscon. Il me fait également une presciption pour le lendemain : une échograpphie Pancréatico-hépato-biliaire et un examen de sang: NFS - Glycémie- TGO, GPT - et enzymes pancrétiques. Pour lui il n'y a aucuns signes d'infarctus qui justifient un ECG.
Le traitement qu'il m'a prescrit n'a aucun effet sur ma violente douleur rétrosternale.
Le mercredi 3 novembre Je fais pratiquer l'échographie qui confirme le signe Murphy, mais ne montre absolument rien de particulier. Par contre l'examen de sang montre une élévation des globules blancs à 11000 dont 8000 polynucléaires, une VS à 17 la 1 ère heure et 35 la 2 ème heure, les enzymes TGO et GPT sont augmentés mais sans excès Les enzymes pancréatiques sont normaux (je ne suis plus en possession des résultats, le CHU ne me les a pas rendus). Ma température corporelle est à 37°8.
Le vendredi 5 novembre au matin les douleures reviennent de plus belles, j'appelle à nouveau mon médein traitant. Toujours surbouké, il me propose son associée. Elle vient à 17 heures. Pour elle il s'agit bien d'un problème gastro-intestinal avec reflux oesophagien. Mais elle se fixe encore sur une cause biliaire ou pancréatique. Devant mon état et au regard des résultats des examens sanguins elle téléphone à la clinique de l'Europe pour une tomodensitométrie abdominale (scanner) en urgence. La clinique ne pourrait la pratiquer que le lundi 7 novembre et le médecin généraliste me demande à nouveau de refaire des examens de sang pour cette même date. Toujours pas dECG pratiqué car pour ce second médecin en 48 heures il ne s'agit pas d 'un infarctus.
Ce même vendredi 5 novembre au soir dès le départ de ce second médecin, je me lève et je vais fermer mes volets. C'est alors que je suis pris d'un malaise intense et je m'assois sur mon fauteuil incapable de me mobiliser tant la douleur est intense. Ma femme était partie chercher les médicaments prescrits par ce médecin et avait oublié ma carte vitale, elle revient donc en vitesse à la maison. Je lui demande alors de téléphoner d'urgence au SAMU et d'insister car je suis sûr de faire un infarctus malgré que les médecins généraux pensaient le contraire. Le SAMU envoie une ambulance qui refuse en arrivant de me prendre en charge tant mon état les inquiétait. Les ambulanciers téléphonent à nouveau au SAMU qui enfin arrive pour me transporter d'urgence à l'hôpital il est 19 heures 30.
Arrivée à l'hopital ce vendredi 5 en urgence.
Après l'examen d'un ECG (difficile à interpréter du fait que je suis porteur d'un bloc de branche gauche complet depuis l'âge de 45 ans ) , les enzymes cardiaques sont vérifiés en urgence ils sont très élevés ce qui démontre une très grosse souffrance cardiaque.
Le diagnostic d'une très grande souffrance des coronaires est posé avec ID (-) . Je souffrais alors d'un très gros infarctus au niveau de l'apex (depuis trois jours selon les médecins du CHU) qui m'avait occasionné la survenue d'un thrombus dans le ventricule gauche ( vu à l'échographie cardiaque).
Le Samedi 6 novembre on me pratique une coronarographie qui montre 4 coronaires obstruées dont trois de façon importante. Le praticien me pose deux stents dans une oblique gauche et un stent dans l'oblique droite de I'IAV.
Pour la circonflexe et la droite on verra plus tard...
Retour ce même jour en Soins intensifs cardio sous surveillance cardiaque intensive.
Le 10 novembre d'après une nouvelle échographi cardiaque le thrombus a disparu dans mon ventricule gauche. Ouf !
Le jeudi 11 novembre je suis transféré dans le service de médecine cardiologie B 1 . Surprise il n'y a plus de place. On me dépose dans l'autre sercice de cardiologie de semaine qui ferme le lendemain pour le WE. Donc le lendemain ....
Vendredi 12 novembre je réintègre le service dans lequel je devais être la veille car des places ont été libérées comme tous les vendredi de chaque semaine.
Le lundi 14 novembre le médecin chef de clinique de ce service veut me renvoyer dans le service de cardilogie de semaine, ce que refuse avec vigueur, disant qu'il ne fallait pas me prendre pour une balle de ping-pong que l'on renvoi d'un service à l'autre au grè de femetures économiques de services décidées par l'administration hospitalière. Je m'énerve de plus en plus et fini par avoir de très violentes douleurs rétrosternales. Le médecins qui voulait me faire changer de service s'affole et devant les signes de l'ECG pense à une nouvelle obstruction au niveau des stents. Ceci se confirme après une nouvelle coronarographie. Une nouvelle désosbtruction, accompagnée d'une nouvelle dilatation sont pratiquées au niveau de la coronaire où ont été posés deux stents bout à bout. J'avais prévenu que l'un de mes facteurs de coagulation était très résitant au lovénox car déjà il y a 14 ans j'avais fait une migration pulmonaire alors que j'étais traité à 0,50/jour avec ce même médicament. On a alors décidé de doubler ce la dose qui s'est alors révélée efficace. Que de temps perdu...... Que de souffrance inutiles...que l'on aurait pu éviter si au minimum la certitude médicale ne l'avait emportée sur les informations argumentées du patient.
Je resterai dorénavant très incertain vis à vis d'un diagnostic de médecin généraliste, puisque deux se sont consécutivement trompés, ce qui aurait pu avoir des conséquences dramatiques si je n'avais pas été au minimum connaisseur des signes de l'infarctus. Ce qui m'a conduit à appeler moi-même le SAMU et ce qui m'a sauvé mais avec des séquelles que je garderai toute ma vie et qu'on aurait pu éviter . Je suis également en colère auprès de la direction du CHU qui sous prétexte de faire des économies, oblige le transfert X fois des patients d'un service à l'autre pour en fermer un sur deux le WE.
Et que l'on me dise pas qu'il manque des infirmières. Une des infirmières du service est partie pendant mon séjour car la direction du CHU lui a offert une prime suffisamment conséquente pour qu'elle anticipe son départ pour s' installer en libéral afin de libérer un poste au CHU (non remplacé évidemment, ou remplacé en prenant du personnel d'un autre service) . C'est la nouvelle politique des hôpitaux généraux d'offrir des primes aux agents pour anticiper leur départ et ainsi pouvoir fermer des services périodiquement. Les hôpitaux publics participent aussi à la diminution du déficit public en réduisant le coût de la masse salariale en en incitant le personnel à des départs anticipés grace aux primes de départ.
Va-t-on vers une privatisation accrue de la politique de santé pour réduire le déficit public ? Il semblerait que cela se confirme.
Je tiens à remercier et à féliciter l'équipe médicale de très haut niveau, le personnel soignant et de service de cardiologie de ce CHU. Leur compétence et leur gentillesse m'ont permis d'accepter ma pathologie.
Sans rancune pour les erreurs de diagnostic de mes deux médecins généralistes. Qui je pense, même avec un ECG " s'il l'avait fait " n'auraient pas décelé cet infarctus, la lecture étant rendu difficile par le bloc complet de ma branche gauche. Mais de grâce la prochaine fois dans le doute qu'ils fassent hospitaliser d'urgence un patient qui présenterait les mêmes graves symptomes, même s'ils ne sont pas absolument typiques du traditionnel infarctus. Car traîner 5 jours avec un infarctus important relève d'une abération médicale.
Je n'ai pas situé volontairement la ville ni le lieu de mes problèmes de santé, par discrétion pour ne pas nuire aux personnes en référence. Mon histoire est absolument réelle et les personnes concernées se reconnaîtront. Du moins je le pense.
PS : Mon dossier médical avait été envoyé par le CHU par erreur à un médecin Homonyme de mon médecin traitant à 150 kms de mon habitation. C'est le Professeur du service de cardiologie qui m'en à fait imprimer un nouveau lors d'une contre-visite pour le remettre moi-même au médecin traitant et il m'en a fourni un double aussi pour mon usage personnel. Mon médecin traitant n'étant pas là je l'ai remis à son associée le lendemain de ma contre-visite chez le Professeur de cardiologie.
suite
Le 22 décembre 2010 au soir : Nouvelle douleur rétrosternale.
j'utilise le nati-spray, la douleur se calme mais seulement un quart d'heure après, puis je vais me coucher.
Le 23 décembre j'appelle mon médecin traitant pour l'en informer. il décide de passer me voir. Il me prescrit de me rendre à l'hôpital. Pas moyen de trouver un ambulance taxi, mon voisin m'y conduit.
Arrivé au CHU, après ma prise en charge aux urgences, je suis transféré à nouveau dans le service de soins intensifs cardio pour la troisième fois.
Le lendemain un cardiologue me fait une échocardiographie d'effort . Mon électrocardiogramme est selon le médecin "illisible" du fait de mon bloc complet de branche gauche, mais l'echocardiographie d'effort montre un territoire cardiaque très mal vascularisé au niveau de la coronnaire circonflexe qui n'a pas reçu de stent malgré que sa sténose était aux alentours de 90 %.
Le professeur me propose une troisième coronarographie.
La circonflexe non stentée est très sténosée, pose alors d'un stent actif.
L'IVA stentée préalablement est à nouveau sténosée, donc pose à nouveau d'un stent actif supplémentaire.
La première oblique qui avait reçu deux stents antérieurement est également resténosée et quelques microcaillots s'y trouvent répartis sur toute sa longueur, pose à nouveau d'un seul stent actif cette fois mais plus long que les deux non actifs précédemment implantés.
Je sors le lendemain avec quand même un léger hématome au point de ponction de l'artère fémorale.
Le fait d'avoir implanté des stents actifs, le professeur me supprime la prescription d'AVK et represcrit de l'Efient - anti-agrégant plaquettaire- (sa presciption avait était supprimée par l'interne de cardio 30 jours après l'implantation des premiers stents). Le professeur me dit que c'était trop court 30 jours comme délai. Du fait que j'avais eu un caillot, heureusement disparu à ce jour, dans le ventricule gauche. Donc cette fois il faudra réellement attendre que les stents soient enveloppés par l'endartère pour envisager d'arrêter l'Efient.
Entre-temps l'associée de mon médecin traitant avait fait deux fois la demande de prise en charge à 100% par la sécurité sociale, m'a t-elle certifié. A ce jour, 55 jours après mon premier infarctus, le service médical de la sécurité sociale ne trouve aucune trace d'un quelconque dossier de demande de prise en charge. Cette associée étant en vacances pour la période de Noël , mon médecin traitant m'a demandé de lui photocopier mon dossier médical et de lui remettre car c'est sa remplaçante qui le détient, pour cette fois effectuer la demande lui-même ce même soir. Soit 55 jours après mon premier infarctus. Il m'a même dit de conserver le récent dossier de ma dernière hosptalisation après lui avoir photocopié afin qu'il ne soit pas encore égaré.
Chez le pharmacien :
Ce qui aurait pu être grave également c'est l'erreur que l'employée de la pharmacie a commise. Elle me présentait deux boites d'antivitamine K alors qu'une seule était prescite. Je lui pose la question, pourquoi deux boites ? Elle me répond : parce que vous n'en aurez pas assez d'une boite puisque le médecin a prescit, un demi préviscan le matin, trois quarts le midi, et un demi le soir.
Je lui répondis que son erreur était très grave dans sa lecture de la prescription puisqu'il s'agissait en réalité de l'alternance : un demi comprimé un jour et les trois quarts d'un comprimé le jour suivant et ainsi de suite. Imaginez que je n'ai pas eu connaissance de la presciption réelle et que cette employée m'ait noté ce que elle avait compris, je risquais une hémorragie grave. Il est anormal que cette employée de pharmacie délivre des médicaments auusi importants sans en référer au pharmacien.
Espérons que cette fois tout ira bien.
Je rappelle que j'ai fumé de l'âge de 21 ans à 23 ans. Par contre j'ai fréquenté des milieux très enfumés , car j'étais musicien dans un orchestre pendant 9 ans et une collègue de travail m'a asphyxiée avec sa tabagie pendant 4 ans.
Je ne consomme pas du tout d'alcool.
Je pratique le golf , la musculation d'entretien (qu'il m'est déconseillé de reprendre pour une période de convalescence indéterminée), la marche que j'aime beaucoup m'est fortement recommandée.
Je traite maintenant :
- Mon cholestérol qui était trop élevé à 2,60, malgré que je ne mange jamais gras, il est traité avec un hypocholestérolémiant, Je l'avais laissé très augmenté à l'époque pendant laquelle je pratiquait intensivement la musculation, je mangais trois oeufs et un à deux biftecks par jour.
- Ma tension artérielle qui était limite la PS à 140 ou 150 / la PD à 90 ou 95 , est traitée avec un inhibiteur de l'enzyme de conversion.
- Une légre insuffisance ventriculaire gauche au niveau de l'apex, là où se situait mon infarctus, est traitée avec un un inhibiteur calcique ( j'ai refusé les Béta bloquants )
- Et pour éviter de thromboser mes coronaires je prends deux antiagrégants plaquettaires/jour.
J'ai été très en forme jusqu'à l'âge de 71 ans. Quelques erreurs diététiques ont insidieusement accentués mes risques génétiques, puisque la plupart de ma famille a ce problème plus ou moins tardivement d'hypercholestérolémie. Toujours grand bricoleur, et je n'hésitais pas à faire des gros travaux très durs jusqu'à ces derniers mois, juste avant mon premier infarctus.
mardi 30 novembre 2010
lundi 25 octobre 2010
La SNCF bloque partiellement la France !
Lorsque le départ d'un train est bloqué par des manifestants, aussitôt la police intervient ce qui est normal. Des agents de la SNCF ou autres corporations bloquent une grande partie des Français qui veulent se déplacer, la police n'intervient pas, où est l'égalité devant les actions des grévistes. la grève est un droit, le blocage de ceux qui souhaitent travailler ou se déplacer est une atteinte aux libertés. Il serait temps de légiférer pour faire respecter ces obligations.
mercredi 13 octobre 2010
Les jeunes collègiens et lycéens manipulés revendiquaient pour une retraite précoce.
Si vous otez ces "gamins de collégiens" et "les enfants" des défilés, combien d'adultes ont réellement manifestés ? La france devient le seul pays au monde où les partis de gauche et des syndicats inconscients incitent les jeunes scolarisés à manifester pour une retraite précoce alors qu'ils n'ont pas encore mis le piedà l'étrier. Monsieur Sarkozy avait donc à 100% raison lorsqu'il proclamait qu'il fallait redorer la VALEUR TRAVAIL. Comment ne pas comprendre que les entreprises françaises délocalisent au vu de ces jeunes si peu enthousiastes pour le travail. Heureusement pour eux, la raison de ces jeunes manipulés leur fera prendre conscience tardivement que le DROIT à la retraite ne peut être atteint qu'après avoir respecté le DEVOIR de travailler pour payer les retraites de ceux qui par leur labeur ont côtisé avant eux. Les jeunes courageux qui pensent réellement à leur avenir préparaient leurs examens, ils n'étaient pas dans ces défilés à orientation plus politique que syndicale .
vendredi 24 septembre 2010
Retraite un choix intéressant mais pour une courte période.
J'avais, sur ce blog, proposé plusieurs scénari pour la réforme des retraites. Il semble que le gouvernement opte pour deux solutions - l'allongement de la durée des cotisations et 62 ans l'âge du droit à la retraite, 67 ans pour le taux plein. Ces mesures ne sont qu'un palliatif pour une durée d'une dizaine d'années. Il faudra recourir à de nouvelles mesures du même ordre dans 12 à 15 ans. Qu'on le veuille ou non le système de retraite par répartition tel qu'il existe actuellement est voué à ne pas tenir la route éternellement. Un jour ou l'autre il sera nécessaire d'obliger les Français à opter pour une deuxième complémentaire retraite, voire une troisième, tout en augmentant leurs côtisations, car même ces complémentaires risquent un jour de rencontrer des difficultés pour couvrir les retraites de leurs abonnés. Quant à faire payer les retraites par les "très riches", c'est une mesure qui ne conduirait pas très loin car ces derniers caheraient encore plus leurs fortunes dans les paradis fiscaux.
Les grèves successives déclanchées par les syndicats et soutenues par les partis de gauche sont totalement ridicules. Ces partis politiques et syndicats ne font que s'opposer aux mesures que décide le gouvernement et ne proposesnt rien de cohérant. Hormis d'augmenter les impôts. C'est à dire prendre avec la main droite ce qu'ils donneraient avec la main gauche.
Je ne reviendrai pas sur mes propositions, elles sont sur mon blog, il suffit de s'y reporter.
De grâce messieurs les responsables des syndicats et les responsables des partis de l'opposition qui critiquez tous azimuts le Président de la République, et conduisez les grèves à répétition, n'entraînez pas le France dans le chaos, vous risquez de voir l'ensemble des Français vous le reprocher durement lorsque les retraites ne pourront plus être payées.
Les grèves successives déclanchées par les syndicats et soutenues par les partis de gauche sont totalement ridicules. Ces partis politiques et syndicats ne font que s'opposer aux mesures que décide le gouvernement et ne proposesnt rien de cohérant. Hormis d'augmenter les impôts. C'est à dire prendre avec la main droite ce qu'ils donneraient avec la main gauche.
Je ne reviendrai pas sur mes propositions, elles sont sur mon blog, il suffit de s'y reporter.
De grâce messieurs les responsables des syndicats et les responsables des partis de l'opposition qui critiquez tous azimuts le Président de la République, et conduisez les grèves à répétition, n'entraînez pas le France dans le chaos, vous risquez de voir l'ensemble des Français vous le reprocher durement lorsque les retraites ne pourront plus être payées.
samedi 11 septembre 2010
Outré par la "haine" et les propos outranciers de certains internautes à l'égard des élus de droite
J'a lu ce jour des réactions d'internautes sur le site Orange, au sujet de la tentative d'intimidation que Monsieur Woerth a reçu par courrier. Je condamne vivement cet acte d'intimidation. Et je suis outré par la haine de certains internautes à l'égard de ce Ministre qui travaille avec acharnement sur le dossier des retraites pour sauver le système par répartition. Je suis outré de cette haine de certains internautes envers l'ensemble de nos élus de droite. Par des propos outranciers, calomnieux et vulgaires ces internautes cautionnent tous les actes de malveillance à leurs endroits . Ces réactions sont à la limite de la folie. Pourquoi tant de haine dans les propos. Il est malheureusement vrai que certains journalistes de la presse très à gauche utilisent les mêmes propos. Voire même parfois certains élus. Cette vulgarité haineuse présage une course folle dans l'insolence qui, si nous n'y prenons garde, peut un jour se traduire en actes délictueux. Il faut absolument dénoncer cette haine dans les propos à l'égard des élus. On peut ne pas être d'accord avec la politique conduite par nos élus, c'est la démocratie, mais il faut rester correct et surtout ne pas stigmatiser par la haine. Sinon, je crains pour l'avenir de la France.
lundi 6 septembre 2010
l'Ump rembourse un certain préjudice financier à la mairie de Paris. Problème ?
Un arrangement entre l'ump et la mairie de Paris pour lever la plainte de la mairie de Paris pour d'éventuels détournements de fonds ayant conduit à un préjudice financier au détriment de cette même mairie. Il est vrai que convoquer à de multiples reprises comme témoin un ancien maire et ancien président de la République peut donner une mauvaise image de la République française, même si le ou les auteurs de cette supposée faute de détournements de fonds n'ont jamais été trouvés malgré l'acharnement de la justice. Le Maire se retrouve témoin des faits puisque responsable de la Mairie Personne Morale.
Il semblerait que le droit autorise la personne physique ou morale accusée de détournement de fonds publics à payer une compensation financière au niveau du préjudice reconnu à la personne physique ou Personne Morale qui l'a subi, et peut ainsi permettre aux deux parties de conclure cette plainte " à l'amiable ". C'est toutefois implicitement reconnaîte une faute volontaire ou par omission en évitant d'en rechercher le ou les auteurs. Bon, pourquoi pas si çà arrange tout le monde en respectant le droit.
Mais entendre dire que si l'ump rembourse le préjudice financier par détournements de fonds "supposés", entendre dire que cela ne coûtera rien au contribuable c'est un peu aller vite dans l'analyse. Le financement de l'ump donne droit à un crédit d'impôts à ceux qui le financent par leurs côtisations ou leurs dons. Donc, dans une certaine mesure indirectement le manque à gagner de l'Etat par ce crédit d'impôt permet de financer le préjudice. Donc, ce sont tous les Français qui dans ce cas permettent ce financement.
De plus, n'est-ce pas un aveu de réel préjudice alors que rien n'a apporté une quelconque preuve qu'il y ait eu réellement détournement de fonds publics puisque l'affaire se classe à la suite de cet accord de financement sans en rechercher les auteurs. Quand çà arrange tout le monde la justice se règle - sans la justice - mais n'est-ce pas toujours l'hônnête citoyen qui trinque ?
Il semblerait que le droit autorise la personne physique ou morale accusée de détournement de fonds publics à payer une compensation financière au niveau du préjudice reconnu à la personne physique ou Personne Morale qui l'a subi, et peut ainsi permettre aux deux parties de conclure cette plainte " à l'amiable ". C'est toutefois implicitement reconnaîte une faute volontaire ou par omission en évitant d'en rechercher le ou les auteurs. Bon, pourquoi pas si çà arrange tout le monde en respectant le droit.
Mais entendre dire que si l'ump rembourse le préjudice financier par détournements de fonds "supposés", entendre dire que cela ne coûtera rien au contribuable c'est un peu aller vite dans l'analyse. Le financement de l'ump donne droit à un crédit d'impôts à ceux qui le financent par leurs côtisations ou leurs dons. Donc, dans une certaine mesure indirectement le manque à gagner de l'Etat par ce crédit d'impôt permet de financer le préjudice. Donc, ce sont tous les Français qui dans ce cas permettent ce financement.
De plus, n'est-ce pas un aveu de réel préjudice alors que rien n'a apporté une quelconque preuve qu'il y ait eu réellement détournement de fonds publics puisque l'affaire se classe à la suite de cet accord de financement sans en rechercher les auteurs. Quand çà arrange tout le monde la justice se règle - sans la justice - mais n'est-ce pas toujours l'hônnête citoyen qui trinque ?
Libellés :
Ump - Mairie de Paris,
un arrangement à l'amiable.
mardi 24 août 2010
Les reconduites d'étrangers aux frontières ou dans leurs pays, qu'en est-il ?
Il est très difficile d'aborder ce sujet sans partisanisme.
Les faits :
Reconduire des étrangers qui établissent des campements illégaux en France sous le principe du volontariat en leur fournissant un minimum de subsides pour redémarer dans leur pays n'a rien en soi de dramatique. Ces étrangers ne sont pas internés, ni faits prisonniers, ils sont sortis de leurs campements illégaux en France par les forces de l'ordre, puis ils sont éloignés de la France car ils ne veulent pas appliquer nos lois. Notre gouvernement s'empresse de demander aux autorités de leur pays 'origine de les accueillir et de les aider à se réintégrer dans leur pays. Là encore il n'y a rien de répréhensif.
Si toutefois ce code de reconduite à la frontière établi par les autorités françaises venait à ne plus être respecté, alors je serais le premier à m'y opposer de toutes mes forces.
Depuis que notre Président a été élu, plusieurs dizaines de milliers d'étrangers en situations irrégulières ont été reconduits dans leurs pays respectifs sans que les discours de l'opposition aient réellement clamé au scandale. Maintenant qu'il s'agit de Roms reconduits en Roumanie avec les mêmes avantages que les autres ressortissants jusqu'alors reconduits dans leurs pays, quelques xénophiles de gauche essentiellement, parfois de droite, voire des représentants des cultes tentent de semer le trouble dans l'esprit des Français pour les manipuler en force d'opposition. Il semblerait que les Français dans leur grande majorité, sans être pour autant xénophobes, trouvent les mesures de sécurité territoriales justes et non coercitives, puisqu'elles ne s'adressent qu'à l'encontre des personnes étrangères en situations irrégulières. Mais il serait normal qu'une commission de vigilance veille à la stricte application de la loi et dans les limites humainement acceptables au regard des droits de l'Homme et des Citoyens.
La situation économique de la France est en danger, elle ne peut plus supporter toute la misère du monde, celle de plus en plus de Français devenant elle même de plus en plus précaire voire même dramatique. Il semble inacceptable que des étrangers en situations irrégulières, n'appliquant pas nos lois, voire provoquant des troubles graves dans certaines régions puissent ainsi continuer à ne pas être appréhendés.
Monsieur Sarkozy est contraint de faire appliquer la loi. Ceci semble à priori injuste pour certains. Mais comme ces derniers ne proposent aucunes actions tangibles à cet égard, notre gouvernement continuera dans la voie actuelle de reconduite à la frontière substanciellement aidée pour ces étrangers afin qu'ils puissent repartir dans leurs pays s'y réincérer.
Je reste prudent. Au cas ou certains débordements mettraient la vie de ces personnes étrangères en danger, les priveraient de liberté, ou mettraient induement leur honneur en cause, il serait impératif que ces méfaits à l'encontre de ces étrangers soient dénoncés publiquement et aussitôt réprimés.
Les faits :
Reconduire des étrangers qui établissent des campements illégaux en France sous le principe du volontariat en leur fournissant un minimum de subsides pour redémarer dans leur pays n'a rien en soi de dramatique. Ces étrangers ne sont pas internés, ni faits prisonniers, ils sont sortis de leurs campements illégaux en France par les forces de l'ordre, puis ils sont éloignés de la France car ils ne veulent pas appliquer nos lois. Notre gouvernement s'empresse de demander aux autorités de leur pays 'origine de les accueillir et de les aider à se réintégrer dans leur pays. Là encore il n'y a rien de répréhensif.
Si toutefois ce code de reconduite à la frontière établi par les autorités françaises venait à ne plus être respecté, alors je serais le premier à m'y opposer de toutes mes forces.
Depuis que notre Président a été élu, plusieurs dizaines de milliers d'étrangers en situations irrégulières ont été reconduits dans leurs pays respectifs sans que les discours de l'opposition aient réellement clamé au scandale. Maintenant qu'il s'agit de Roms reconduits en Roumanie avec les mêmes avantages que les autres ressortissants jusqu'alors reconduits dans leurs pays, quelques xénophiles de gauche essentiellement, parfois de droite, voire des représentants des cultes tentent de semer le trouble dans l'esprit des Français pour les manipuler en force d'opposition. Il semblerait que les Français dans leur grande majorité, sans être pour autant xénophobes, trouvent les mesures de sécurité territoriales justes et non coercitives, puisqu'elles ne s'adressent qu'à l'encontre des personnes étrangères en situations irrégulières. Mais il serait normal qu'une commission de vigilance veille à la stricte application de la loi et dans les limites humainement acceptables au regard des droits de l'Homme et des Citoyens.
La situation économique de la France est en danger, elle ne peut plus supporter toute la misère du monde, celle de plus en plus de Français devenant elle même de plus en plus précaire voire même dramatique. Il semble inacceptable que des étrangers en situations irrégulières, n'appliquant pas nos lois, voire provoquant des troubles graves dans certaines régions puissent ainsi continuer à ne pas être appréhendés.
Monsieur Sarkozy est contraint de faire appliquer la loi. Ceci semble à priori injuste pour certains. Mais comme ces derniers ne proposent aucunes actions tangibles à cet égard, notre gouvernement continuera dans la voie actuelle de reconduite à la frontière substanciellement aidée pour ces étrangers afin qu'ils puissent repartir dans leurs pays s'y réincérer.
Je reste prudent. Au cas ou certains débordements mettraient la vie de ces personnes étrangères en danger, les priveraient de liberté, ou mettraient induement leur honneur en cause, il serait impératif que ces méfaits à l'encontre de ces étrangers soient dénoncés publiquement et aussitôt réprimés.
jeudi 12 août 2010
Centres d'intoxication contrôlés, une idée stupide.
Quelques pays le font,.Les résultats ? Rien n'a ralenti les trafics. La France n'est pas obligée de faire comme eux pour arriver à ces piètres résultats. Ce serait dailleurs très grave, car çà accentuerait encore le déficit de la sécurité sociale.
Il faut une lutte internationale acharnée et décapiter les réseaux de drogues coûte que coûte.
On incite bien les alcooliques à arrêter de boire sans pour autant leurs offrir des centres d'alcoolisation contrôlés. Oui il y a les Centres d'hygiène alimentaire et d'alcoologie, mais ce sont des centres d'écoute et de conseils. On ne fournit pas d'alcool dans ces centres que je sache.
OK pour les centres de désintoxication et de conseils, mais pas des centres de consommation de drogue contrôlés, c'est absurde.
Notre premier Ministre a raison de s'y opposer et Madame Bachelot a tort de s'entêter à vouloir les créer.
Souvent les drogués se cachent pour en arriver à l'overdose. Ce ne sont pas ces centres qui les en empêcheront. Ces centres ne feraient que légaliser ce comportement de déchéance par la drogue.
Il faut une lutte internationale acharnée et décapiter les réseaux de drogues coûte que coûte.
On incite bien les alcooliques à arrêter de boire sans pour autant leurs offrir des centres d'alcoolisation contrôlés. Oui il y a les Centres d'hygiène alimentaire et d'alcoologie, mais ce sont des centres d'écoute et de conseils. On ne fournit pas d'alcool dans ces centres que je sache.
OK pour les centres de désintoxication et de conseils, mais pas des centres de consommation de drogue contrôlés, c'est absurde.
Notre premier Ministre a raison de s'y opposer et Madame Bachelot a tort de s'entêter à vouloir les créer.
Souvent les drogués se cachent pour en arriver à l'overdose. Ce ne sont pas ces centres qui les en empêcheront. Ces centres ne feraient que légaliser ce comportement de déchéance par la drogue.
mardi 3 août 2010
Les retraites des fonctionnaires de l'union européenne
En guise de réflexion !CES FONCTIONNAIRES DE l'UNION EUROPEENNE....A DIFFUSER LARGEMENT S.V.PLes technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs...Même les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent... C'est dire !Giovanni Buttarelli, qui occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1 515 ¤ / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du secteur privé après une carrière complète (40 ans).Son collègue, Peter Hustinx, vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à près de 9 000 ¤ de retraite / mois.C'est simple, plus personne ne leur demande des comptes et ils ont bien décidé d'en profiter. C'est comme si, pour leur retraite, on leur avait fait un chèque en blanc.En plus, beaucoup d'autres technocrates profitent d'un tel privilège : 1. Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 ¤ de retraite par mois. 2. Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 ¤ / mois. 3. Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 ¤ / mois. 4. Etc.Consultez la liste : http://www.kdo-mailing.com/redirect.asp?numlien=1276&numnews=1356&numabonne=62286Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du dernier salaire.Car, c'est à peine croyable... Non seulement leurs pensions crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012), 42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5 ans... De qui se moque-t-on ?A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable...Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement, c'est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées.../ ", profitent du système et ne paient pas de cotisations.Et, que dire de tous ces technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ?A l'heure où l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 ¤ / mois, après seulement 15 ans de carrière et sans même cotiser...
Maintenant à défaut d'une retraite dorée.......
Cliquez sur le pays, puis sur la ville ...... et c'est merveilleux !
Italie France U.S.A Scandinavie Bulgarie Roumanie
Allemagne Amérique du Sud Espagne Canada Grèce Belgique Japon Afrique Portugal Autriche Australie Les Caraïbes Alaska Hongrie Croatie Ile de Norfolk
Ile de Malte
Luxembourg Mexique Hollande Pologne Prague Andorre Londres Saint-Pétersbourg Israël Irlande Ecosse/Oban/Glasgow Ecosse Nouvelle Zélande Fidji Singapour Hong Kong Thaïlande Thaïlande 2 Ko Samui Turquie Chypre Chutes du Rhin Suisse Genève Lac Ohrid Macédoine Bombay Sri Lanka Inde
FIN
Maintenant à défaut d'une retraite dorée.......
Cliquez sur le pays, puis sur la ville ...... et c'est merveilleux !
Italie France U.S.A Scandinavie Bulgarie Roumanie
Allemagne Amérique du Sud Espagne Canada Grèce Belgique Japon Afrique Portugal Autriche Australie Les Caraïbes Alaska Hongrie Croatie Ile de Norfolk
Ile de Malte
Luxembourg Mexique Hollande Pologne Prague Andorre Londres Saint-Pétersbourg Israël Irlande Ecosse/Oban/Glasgow Ecosse Nouvelle Zélande Fidji Singapour Hong Kong Thaïlande Thaïlande 2 Ko Samui Turquie Chypre Chutes du Rhin Suisse Genève Lac Ohrid Macédoine Bombay Sri Lanka Inde
FIN
Grande ou petite nationalité française aux étrangers
Dans certains pays on accorde dans un pemier temps la - petite nationalité. Puis selon le mérite, l'exemplarité de la conduite, à condition de parler et écrire la langue du pays et résider dans ce pays de puis un certain nombre d'années, il est possible, suite à la demande de la personne étrangère ,de lui accorder la grande nationalité. Il y a une distinction de droits acquis entre la petite et la grande nationalité, mais les devoirs et obligations face aux lois du pays sont les mêmes.
Bravo les jeunes athlètes Français pour l'ensemble des résultats aux championats d'Europe.
Des jeunes Français pleins de talents et de motivation qui gagnent en final des championats d'Europe et chantent la Marseillaise lors de la cérémonie de remise de ces médailles pour offrir leur victoire aux Français, çà met du baume au coeur. C'est vrai que çà n'a rien à voir avec ces béquillants, tant leurs poches sont lourdes de fric, ces professionnls en bleus du football qui pour certains ne connaisent pas la marseillllaise ou qui s'étranglent dès qu'ils en prononcent les premiers mots . Merci aux jeunes atlhètes Français. Quelle belle et courageuse jeunesse qui s'épanouie dans l'effort et si joyeuse d'offrir leur victoire à la France. Merci mille fois.à eux et à leurs entraîneurs.
dimanche 25 juillet 2010
SFR ne prend pas toujours en compte sur le forfait les appels passés à l'étranger
Bonjour, j'ai été surpris en rentrant d'un voyage en Italie. Je n'ai utilisé que 11 minutes sur mon forfait de 20 minutes et sfr m'a facturé 13 euros de plus sur les appels que j'ai passés lors de ce séjour en Italie. J'étais chez Orange avant et cet opérateur me prélevait toujours sur mon forfait quelque soit le pays d'appel pour la France. J'estime que chez sfr c'est un vol manifeste.
Cette pris en compte ne se fait chez sfr qu'à certaines périodes , pourquoi ? c'est scandaleux.
Cette pris en compte ne se fait chez sfr qu'à certaines périodes , pourquoi ? c'est scandaleux.
mardi 22 juin 2010
Salaires de nos "champions" de l'équipe de France de football.
Des incapables sans cervelle et sans jambes mais grassement payés.
Voila le salaire des joueurs, incapables de passer le 1er tour du Mondial
1. Thierry Henry (Barcelone/ESP) 666 000€/mois
2. Franck Ribéry (Bayern Munich/ALL) 416 000€/mois
3. Lassana Diarra (Real Madrid/ESP), 416 000€/mois
4. Nicolas Anelka (Chelsea/ANG), 400 000€/mois
5. Eric Abidal (Barcelone/ESP), 400 000€/mois
6. Patrice Evra (Manchester United/ANG), 400 000€/mois
7. Yoann Gourcuff (Bordeaux), 367 000€/mois
8. William Gallas (Arsenal/ANG), 320 000€/mois
9. Florent Malouda (Chelsea/ANG) 292 000€/mois
10. Abou Diaby (Arsenal/ANG), 292 000€/mois
11. Gaël Clichy (Arsenal/ANG), 292 000€/mois
12. Sidney Govou (Lyon), 267 000€/mois
13. Jérémy Toulalan (Lyon), 258 000€/mois
14. André-Pierre Gignac (Toulouse), 242 000€/mois
15. Alou Diarra (Bordeaux), 233 300 €/mois
16. Bacary Sagne (Arsenal/Ang), 216 700€/mois
17. Hugo Lloris (Lyon), 208 300€/mois
18. Djibril Cissé (Panathinaïkos/GRE), 208 000€/mois
19. Anthony Reveillère (Lyon) 208 000€/mois
20. Steve Mandanda (Marseille), 192 000€/mois
2 1. Mathieu Valbuena (Marseille), 192 000€/mois
22. Sébastien Squillaci (Séville/ESP), 180 000€/mois
23. Cédric Carrasso (Bordeaux), 166 700€/mois
24. Marc Planus (Bordeaux), 85 000€/mois
Dormez tranquilles braves gens et surtout laissez les pour ce qu'ils sont : DES NULS !
Il ya des problèmes beaucoup plus graves que de rater la coupe du monde de foot.
Voila le salaire des joueurs, incapables de passer le 1er tour du Mondial
1. Thierry Henry (Barcelone/ESP) 666 000€/mois
2. Franck Ribéry (Bayern Munich/ALL) 416 000€/mois
3. Lassana Diarra (Real Madrid/ESP), 416 000€/mois
4. Nicolas Anelka (Chelsea/ANG), 400 000€/mois
5. Eric Abidal (Barcelone/ESP), 400 000€/mois
6. Patrice Evra (Manchester United/ANG), 400 000€/mois
7. Yoann Gourcuff (Bordeaux), 367 000€/mois
8. William Gallas (Arsenal/ANG), 320 000€/mois
9. Florent Malouda (Chelsea/ANG) 292 000€/mois
10. Abou Diaby (Arsenal/ANG), 292 000€/mois
11. Gaël Clichy (Arsenal/ANG), 292 000€/mois
12. Sidney Govou (Lyon), 267 000€/mois
13. Jérémy Toulalan (Lyon), 258 000€/mois
14. André-Pierre Gignac (Toulouse), 242 000€/mois
15. Alou Diarra (Bordeaux), 233 300 €/mois
16. Bacary Sagne (Arsenal/Ang), 216 700€/mois
17. Hugo Lloris (Lyon), 208 300€/mois
18. Djibril Cissé (Panathinaïkos/GRE), 208 000€/mois
19. Anthony Reveillère (Lyon) 208 000€/mois
20. Steve Mandanda (Marseille), 192 000€/mois
2 1. Mathieu Valbuena (Marseille), 192 000€/mois
22. Sébastien Squillaci (Séville/ESP), 180 000€/mois
23. Cédric Carrasso (Bordeaux), 166 700€/mois
24. Marc Planus (Bordeaux), 85 000€/mois
Dormez tranquilles braves gens et surtout laissez les pour ce qu'ils sont : DES NULS !
Il ya des problèmes beaucoup plus graves que de rater la coupe du monde de foot.
lundi 7 juin 2010
Foot des Français et coupe du monde. Les bleus ont les jambes, latête cela reste à prouver.
Pronostiquer un résultat pour les bleus à la coupe du monde de foot est d'une extrème difficulté puisque nous ne savons pas quelle équipe, ni quelle tactique de jeu domi va décider. Comme il improvise à chaque match bien malin celui qui fait un pronostic sans risque d'erreurs.
1 - Si nos joueurs sont capables de s'entendre (qu'ils jouent en équipe et n'attendent pas seulement le ballon devant les buts adverses ) qu'ils soient capables de se "défoncer" pour gagner,et qu'ils respectent un éthique de professionnels représentant la France, ils peuvent espérer aller en demi-finale.
2 - Si au fur et à mesure ces joueurs prennent pleinement confiance en eux et qu'ensemble ils sont les meilleurs, ils peuvent aller en final
3 - Si ils sont capables de modifier leur tactique de jeu au cours d'un match parcequ'ils ont l'intelligence de comprendre le jeu de l'adversaire et de le contrer alors ils gagneront la finale.
Cette dernière hypothèse peut être la bonne. Alors messieurs les "artistes français du ballon rond" montrez-vous intelligents car les jambes vous les avez "peut-être". La tête cela reste à prouver.
mardi 25 mai 2010
Réformer les retraites , oui. Hypothèses de travail.
En réalité, c'est beaucoup plus complexe qu'on ne le pense.
Le recul de l'âge de la retraite se ferait de 3 mois par an, soit 12 ans pour aboutir à un recul de 3 ans (à 63 ans en 2012). Pour que ce changement reste "rentable" pour la CSS il faudrait continuer après 2012 de reculer l'âge de la retraite du différentiel annuel concernant le gain d'espérance de vie, soit encore de 9 années supplémentaires, puisque l'espérance de vie a augmenté de 12 ans depuis la création de la sécu. Si on l'augmente encore de 3 mois par an cela fait 36 ans encore à reculer l'âge de la retraite pour atteindre 72 ans en 2048. Et je ne fais pas le lissage du gain d'espérance de vie d'ici là, car il faudrait encore ajouter au moins deux mois par an. Autant dire que d'ici 2060 la retraite serait acquise à l'âge 75 ans.
Sous hypothèse, je pense que dans le cas précédent, il faut laisser le droit à la retraite à 60 ans avec 42 ans minimum de côtisations dès 2013. Puis calculer cette décôte en fonction du nombre d'années de côtisations que décidera le gouvernement. Si ce nb d"années de côtisations est de 46 ans en 2020 et que la personne n'a que 42 ans de côtisation, la décôte sera de 12,5 %, donc celle-ci n'aura que 38,5 % brut de pension par rapport à la moyenne de ses salaires bruts ou du plafond de référence et ainsi de suite .
Quant àla surcôte en fonction d'années suplémentaires proposée par le ps, ceci n'a aucun intérêt pour sauver le régime de retraite par répartition puisque l'élévation de l'espérance de vie augmenterait le coût durant le nombre années de vie restant à bénéficier de la retraite.
Seconde hypothèse, augmentation des côtisations. Je ne crois pas à la possibilité actuellement d'augmenter les côtisations sans risquer de faire chuter le pouvoir d'achat ou alors il faudrait une compensation immédiate par une augmentation égale des salaires, pensions et retraites, ce qui actuellement est peu probable.
Troisième hypothèse (cumulable avec les précédentes) créer un deuxième prélèvement obligatoire pour une seconde caisse complémentaire pour compenser les pertes par les décôtes.
Quatrième hypothèse , possibilité de déplafonner les côtisations. Difficile, car il faudrait augmenter également les retraites si on reste au même pourcentage de 50% brut du plafond.
Cinquième hypothèse, baisser le pourcentage brut de référence pour calculer la retraite. Par exemple, passer à 40% brut au lieu de 50 %. Ce qu'ont fait certains pays.
Sixième htpothèse, prendre en compte pour tous les salariés (publics et privés) de toutes les années de côtisations pour établir la moyenne.
Non exhaustif.... Je pense qu'il faudra conjuguer petit à petit toutes ces propositions.
Le recul de l'âge de la retraite se ferait de 3 mois par an, soit 12 ans pour aboutir à un recul de 3 ans (à 63 ans en 2012). Pour que ce changement reste "rentable" pour la CSS il faudrait continuer après 2012 de reculer l'âge de la retraite du différentiel annuel concernant le gain d'espérance de vie, soit encore de 9 années supplémentaires, puisque l'espérance de vie a augmenté de 12 ans depuis la création de la sécu. Si on l'augmente encore de 3 mois par an cela fait 36 ans encore à reculer l'âge de la retraite pour atteindre 72 ans en 2048. Et je ne fais pas le lissage du gain d'espérance de vie d'ici là, car il faudrait encore ajouter au moins deux mois par an. Autant dire que d'ici 2060 la retraite serait acquise à l'âge 75 ans.
Sous hypothèse, je pense que dans le cas précédent, il faut laisser le droit à la retraite à 60 ans avec 42 ans minimum de côtisations dès 2013. Puis calculer cette décôte en fonction du nombre d'années de côtisations que décidera le gouvernement. Si ce nb d"années de côtisations est de 46 ans en 2020 et que la personne n'a que 42 ans de côtisation, la décôte sera de 12,5 %, donc celle-ci n'aura que 38,5 % brut de pension par rapport à la moyenne de ses salaires bruts ou du plafond de référence et ainsi de suite .
Quant àla surcôte en fonction d'années suplémentaires proposée par le ps, ceci n'a aucun intérêt pour sauver le régime de retraite par répartition puisque l'élévation de l'espérance de vie augmenterait le coût durant le nombre années de vie restant à bénéficier de la retraite.
Seconde hypothèse, augmentation des côtisations. Je ne crois pas à la possibilité actuellement d'augmenter les côtisations sans risquer de faire chuter le pouvoir d'achat ou alors il faudrait une compensation immédiate par une augmentation égale des salaires, pensions et retraites, ce qui actuellement est peu probable.
Troisième hypothèse (cumulable avec les précédentes) créer un deuxième prélèvement obligatoire pour une seconde caisse complémentaire pour compenser les pertes par les décôtes.
Quatrième hypothèse , possibilité de déplafonner les côtisations. Difficile, car il faudrait augmenter également les retraites si on reste au même pourcentage de 50% brut du plafond.
Cinquième hypothèse, baisser le pourcentage brut de référence pour calculer la retraite. Par exemple, passer à 40% brut au lieu de 50 %. Ce qu'ont fait certains pays.
Sixième htpothèse, prendre en compte pour tous les salariés (publics et privés) de toutes les années de côtisations pour établir la moyenne.
Non exhaustif.... Je pense qu'il faudra conjuguer petit à petit toutes ces propositions.
lundi 17 mai 2010
Le nouveau Capitalisme attaque.....les Etats contrent, les citoyens trinquent
Travailler plus pour gagner plus (avec un salaire horaire moindre), travailler plus pour produire plus et le moins cher possible, travailler plus pour augmenter la marge des bénéfices afin que les entreprises puissent en investir un peu plus dans la bourse pour augmenter leurs profits, travailler plus longtemps pour avoir droit à une retraite à minima, planifier toutes les retraites au même niveau ( le bas évidemment). Et le chômage là dedans, que devient-il ?
Serions-nous revenu aux pioniers du capitalisme ou l'Homme alliéné au travail n'est qu'un "outil" de production d'un coût minima ( le salaire) ne lui servant qu'à se nourrir pour le maintenir en forme afin de servir au mieux son patron et quand il ne sert plus, ou devient trop cher, lui attribuer un minimum de retraite pour lui assurer un minimum de survie.
Serions nous revenu à la lutte des classes où le capitalisme se sert de l'Homme uniquement comme outil de production et de profits ? Mais actuellement les politiques des chefs d'Êtats et des patrons qui tentent de relancer le capitalisme par l'aliénation de l'homme au travail sont coincés par la dominance des profits boursiers. La lutte est inégale voire inadmissible car tous les citoyens qui espèrent et ont foi en l'avenir sont perturbés et il ne faut pas s'étonner que l'intolérance gronde.
Notre Président a de bonnes intentions quand il prétend que seul le travail est un moyen d'existence pour la majorité des Français ( "le travail est le prolongement de lHomme" disait pardoxallement Karl Marxs) Coïncidence ?? Mais notre Président n'avez pas connaissance semble -t-il d'un nouveau capitalisme sournoi, par lequel le travail ne sert qu'à engranger des profits qui ne seront plus comme autrefois réinvestis dans des nouvelles entreprises encore plus proléfiques, mais dans un système boursier plus ou moins "mafieux" .Les attaques boursières étant dirigées contre les monaies afin de déstabiliser les gouvernements et encore amoindrir leurs économies, donc leurs inffluences. Ainsi dvenir les maîtres de la finance et des économies internationales. Bon courage messieurs les chefs d'Êtats. Mais attention juqu'à quand la tolérence des citoyens . J'espère que le dialogue sera toujours bien ouvert.
Je penses également que tant que les principales banques ne seront pas à nouveau nationalisées, nous ne sauront toujours pas comment transitent les finances qui servent les boursicoteurs mafieux qui détruisent les économies sans vergogne et sans sentiment pour les citoyens honnêtes qui en souffrent et en souffrirons des décennies. Si l'on veux sauver tous les systèmes sociaux existants qui ont aidé la société à prospérer - grâce au travail de tous et celui-ci convenablement récompensé depuis quelques décennies, il faut avant tout, non pas supprimer le capitalisme, mais le rendre humainement acceptable pour l'humanité toute entière. Sinon ce système s'auto-détruira comme se sont détruites toutes les anciennes civilisations très avancées à leur époque. Comme le nouveau capitalisme mafieux, les classes dominantes avaient considéré l'Homme dans sa grande majorité comme un ensemble d'idiots culturels au service de tous les seigneurs et maîtres. Un système social, équilibré et harmonieux, digne de ce nom, n'existe que si les capitalistes de la haute finance considèrent tous les êtres comme des individus en devenir, libres et égaux, et non pas seulement comme un recours éventuel à la base de leurs profits pour d'autres magouillent financières virtuelles, dont la bourse, dans lesquelles seul l'argent est considéré comme acceptable parce que lui seul procure la puissance et la gloire. Oui il faut déclarer la guerre à tous ces destructeurs d'économies.Le seul moyen : découvrir les sources de base de leurs profits, où sont placés leurs finances, comment elles fructifient, comment elles circulent, les sommes déplacées, les périodes favorables, qui s'entend avec qui, qui cache qui, qui achète quoi pour le revendre à qui. Vaste programme. La nationalisation des dix plus grosses banques internationales serait un premier pas le reste suivra aisément. Mais quels Chefs d'Etats dans les société capitalistes oseront faire ce premier pas ?
Oui il ne suffit pas de légiférer sur les retraites et pensions (Ceci peut se faire )encore faut-il crever aussi l'abcès du capitalisme, sinon la récession par le chômage et le manque à gagner des citoyens risque d'entraîner des mouvements sociaux internationaux sans précédents.
Serions-nous revenu aux pioniers du capitalisme ou l'Homme alliéné au travail n'est qu'un "outil" de production d'un coût minima ( le salaire) ne lui servant qu'à se nourrir pour le maintenir en forme afin de servir au mieux son patron et quand il ne sert plus, ou devient trop cher, lui attribuer un minimum de retraite pour lui assurer un minimum de survie.
Serions nous revenu à la lutte des classes où le capitalisme se sert de l'Homme uniquement comme outil de production et de profits ? Mais actuellement les politiques des chefs d'Êtats et des patrons qui tentent de relancer le capitalisme par l'aliénation de l'homme au travail sont coincés par la dominance des profits boursiers. La lutte est inégale voire inadmissible car tous les citoyens qui espèrent et ont foi en l'avenir sont perturbés et il ne faut pas s'étonner que l'intolérance gronde.
Notre Président a de bonnes intentions quand il prétend que seul le travail est un moyen d'existence pour la majorité des Français ( "le travail est le prolongement de lHomme" disait pardoxallement Karl Marxs) Coïncidence ?? Mais notre Président n'avez pas connaissance semble -t-il d'un nouveau capitalisme sournoi, par lequel le travail ne sert qu'à engranger des profits qui ne seront plus comme autrefois réinvestis dans des nouvelles entreprises encore plus proléfiques, mais dans un système boursier plus ou moins "mafieux" .Les attaques boursières étant dirigées contre les monaies afin de déstabiliser les gouvernements et encore amoindrir leurs économies, donc leurs inffluences. Ainsi dvenir les maîtres de la finance et des économies internationales. Bon courage messieurs les chefs d'Êtats. Mais attention juqu'à quand la tolérence des citoyens . J'espère que le dialogue sera toujours bien ouvert.
Je penses également que tant que les principales banques ne seront pas à nouveau nationalisées, nous ne sauront toujours pas comment transitent les finances qui servent les boursicoteurs mafieux qui détruisent les économies sans vergogne et sans sentiment pour les citoyens honnêtes qui en souffrent et en souffrirons des décennies. Si l'on veux sauver tous les systèmes sociaux existants qui ont aidé la société à prospérer - grâce au travail de tous et celui-ci convenablement récompensé depuis quelques décennies, il faut avant tout, non pas supprimer le capitalisme, mais le rendre humainement acceptable pour l'humanité toute entière. Sinon ce système s'auto-détruira comme se sont détruites toutes les anciennes civilisations très avancées à leur époque. Comme le nouveau capitalisme mafieux, les classes dominantes avaient considéré l'Homme dans sa grande majorité comme un ensemble d'idiots culturels au service de tous les seigneurs et maîtres. Un système social, équilibré et harmonieux, digne de ce nom, n'existe que si les capitalistes de la haute finance considèrent tous les êtres comme des individus en devenir, libres et égaux, et non pas seulement comme un recours éventuel à la base de leurs profits pour d'autres magouillent financières virtuelles, dont la bourse, dans lesquelles seul l'argent est considéré comme acceptable parce que lui seul procure la puissance et la gloire. Oui il faut déclarer la guerre à tous ces destructeurs d'économies.Le seul moyen : découvrir les sources de base de leurs profits, où sont placés leurs finances, comment elles fructifient, comment elles circulent, les sommes déplacées, les périodes favorables, qui s'entend avec qui, qui cache qui, qui achète quoi pour le revendre à qui. Vaste programme. La nationalisation des dix plus grosses banques internationales serait un premier pas le reste suivra aisément. Mais quels Chefs d'Etats dans les société capitalistes oseront faire ce premier pas ?
Oui il ne suffit pas de légiférer sur les retraites et pensions (Ceci peut se faire )encore faut-il crever aussi l'abcès du capitalisme, sinon la récession par le chômage et le manque à gagner des citoyens risque d'entraîner des mouvements sociaux internationaux sans précédents.
vendredi 14 mai 2010
Les apérifs de masse, un phénomène identitaire manipulé par les traficants utilisant facebook comme réseau
Un bon arrosage à la lance à incendie aura vite fait de les faire décamper.
Tous ces gens sont manipulés par les marchés parallèles de l'alcool et de la drogue.
Les élus, la police, et toutes les autortés sont dépassés par l'usage par les traficants de tous les nouveaux systèmes de communication. Ceux-ci sont exploités par des groupes bien organisés qui jonglent par l'intermédiares de pseudos amis en faisant suivre l'information de façon incontrolable. Les poltiques tentent d"ailleurs d'utiliser les mêmes réseaux lors des campagnes électorales pour abreuver les internautes de leurs boniments de campagne. Un peu de patience tout comme les blousons noirs, les hippies, et tous les autres ces jeunes en recherche identitaire se "caseront" et le phénomène disparaîtra.
Chaque génération a tenté de se faire reconnaître par des excès de toutes sortes. Par contre la police n'hésitait pas à se servir des moyens adéquates pour maîtriser la situation et y parvenait sans que personnes ne critique leur intervention comme cela se produit maintenant.
Il faut donc limiter les excès dangereux dans ces manifestations . Si elles sont interdites, allez un bon arrosage à la lance à incendie pour leur rafraîchir les idées. Ils auront vite fait de déguerpir et cela évitera en grande partie leur organisation dite "sauvage".
Tous ces gens sont manipulés par les marchés parallèles de l'alcool et de la drogue.
Les élus, la police, et toutes les autortés sont dépassés par l'usage par les traficants de tous les nouveaux systèmes de communication. Ceux-ci sont exploités par des groupes bien organisés qui jonglent par l'intermédiares de pseudos amis en faisant suivre l'information de façon incontrolable. Les poltiques tentent d"ailleurs d'utiliser les mêmes réseaux lors des campagnes électorales pour abreuver les internautes de leurs boniments de campagne. Un peu de patience tout comme les blousons noirs, les hippies, et tous les autres ces jeunes en recherche identitaire se "caseront" et le phénomène disparaîtra.
Chaque génération a tenté de se faire reconnaître par des excès de toutes sortes. Par contre la police n'hésitait pas à se servir des moyens adéquates pour maîtriser la situation et y parvenait sans que personnes ne critique leur intervention comme cela se produit maintenant.
Il faut donc limiter les excès dangereux dans ces manifestations . Si elles sont interdites, allez un bon arrosage à la lance à incendie pour leur rafraîchir les idées. Ils auront vite fait de déguerpir et cela évitera en grande partie leur organisation dite "sauvage".
samedi 8 mai 2010
LA SEULE SOLUTION, DEVALUER L'EURO
Il faut dévaluer l'euro de 20% afin de favoriser les exportations européennes, ceci diminuera le chômage, améliorera le pouvoir d'achat, relancera la consommation, améliorera les recettes sociales voire fiscales.
Pourquoi injecter des milliards dans la bourse pour soutenir l'euro qui pénalise tout ce qui peut-être amélioré en le dévaluant. L'euro n'est pas une monnaie reconnue pour les échanges internationaux, le dollars reste le maître il faut contrer l'inffluence internationale du dollars.
Il faut vérifier tous les comptes bancaires pour voir enfin à qui profite la crise. Je pense que nous aurions des surprises en découvrant qui trempe dans quoi. Mais pour cela il faudrait nationaliser les 10 plus grosses banques internationales et surtout dans les paradis fiscaux. Nos chefs d'Êtats oseront-ils un jour ? J'en doute vu les échecs des décisions successives du G7.
Pourquoi injecter des milliards dans la bourse pour soutenir l'euro qui pénalise tout ce qui peut-être amélioré en le dévaluant. L'euro n'est pas une monnaie reconnue pour les échanges internationaux, le dollars reste le maître il faut contrer l'inffluence internationale du dollars.
Il faut vérifier tous les comptes bancaires pour voir enfin à qui profite la crise. Je pense que nous aurions des surprises en découvrant qui trempe dans quoi. Mais pour cela il faudrait nationaliser les 10 plus grosses banques internationales et surtout dans les paradis fiscaux. Nos chefs d'Êtats oseront-ils un jour ? J'en doute vu les échecs des décisions successives du G7.
Libellés :
Erreur de la politique monétaire de l'Europe
jeudi 6 mai 2010
Avenir rose ou maurose ?
Le séisme économique provoqué par les nantis internationux reprend de plus belle. Soubressauts boursiers, chômage élevé, déficit public, délocalisations, faillites d'entreprises et maintenant faillites d'Êtats... Il y a trop d'élus politiques dans notre monde qui ne sont pas formés pour les postes de responsabilités qui leurs sont attribués. Même nos experts en économie sont complètement débousslés car ils ignorent où se trouve l'argent des plus fortunés et encore moins ce qu'ils en font et par quels circuits leurs fortunes circulent. Alors pensez bien que nos "pauvres" élus, bons bonimenteurs mais piètres économistes font de la gestion au jour le jour. Ils n'ont plus la possiilité d'un lissage prévisionnel comme celà se faisait autrefois pour envisager les mesures éconmiques à prendre. La seule mesure possible pour nos ministre c'est de bloquer l'évolution des dépenses, voire les diminuer. Mais est-ce de la gestion ? Au mieux avec les budgets publics relookés, les choix de dépenses seront différents, mais comment faire les bons choix ? Qu'est-ce qu'il faut développer ? Qu'est-ce qu'il faut supprimer ? Y a t-il un super élu pour faire un dianostic correct de la situation et un pronostic sur l'évolution ? Que nenni ! Le paquebot Europe chavire dans la tempête économique parce que la barre est mal tenue par des élus qui contre le vent des fortunés du privé du monde perdent la boussole. Le navire ne sait plus quelle direction prendre et devient incontrôlable. Alors les citoyens qui ne parlent pas la même langue, n'ont pas les mêmes us et coutumes, et pas les mêmes valeurs sont accusés. Ils sont accusés d'être les auteurs du risque de naufrage et se voient attribués une punition "bloquage voire diminution de leurs revenus, " d"autres sont jetés à la mer "licenciements" d'autres encore ne seront jamais pris dans l'équipage "les chercheurs d'emplois " Quant aux anciens marins "les retraités présents et futurs" devenus trop tôt des improductifs trop onéreux semble-t-il, ils seront spoliés de tous les aventages acquis. Vive le paquebot Europe, que l'on pensait le plus beau, le plus solide, l'imprenable. Vive le progrès qui nous conduit au sans emploi, vive la science pour nous avoir permis de survivre toujours plus longtemps. Mais dans quelles conditions ? Nul ne sait et encore moins encore nos trop nombreux politiques toujours sur d'eux dans la tempête économique. Bon, ne soyons pas trop caustiques les hommes et les femmes politiques ne sont pas des professionnels de l'économie, tout au plus ils font pour le mieux. Surtout dans les pays gouvernés par la gauche dont les résultats sont probants.... sic ! ? ! ? ! ......
mardi 4 mai 2010
Risques "d'implosion économique " de l'Europe
L'euro une erreur ? Maintenant tous les pays ayant opté pour l'euro ont cru au miracle économique. Si chaque pays avait respecté la barre de 3% de déficit s'eut été parfait. Malheureusement chaque pays a cru bon de s'endetter en s'octroyant un développement économique à crédit et en pensant que les pays les plus riches de la zone euro viendrait à leur secours en cas de fragilité économique. Les gouvernements de gauche ont ouvert le gouffre de l'assistanat et des surenchères dans les services publics. Si la France avait était gouvernée par la gauche elle en serait au même point que la Grèce, l'Espagne, le Portugal etc.... Heureusement contre vents et marées Monsieur Sarkozy malgré quelques erreurs d'appréciation dans la gestion de la crise a su limiter les dépenses publiques et fait des changements qui ont pu en ces temps difficiles maintenir au mieux notre économie. Il est temps de s'attaquer aux grands spéculateurs qui pourrissent la société pas le JEU boursier au lieu de miser sur lla rentabilité de leurs entreprises par le capital travail. L'heure a sonné de pourchasser tous les trafiquants de toutes natures, sans répit et sans faiblesse. Redonner aux hommes leurs vertus et leur dignité : sagesse, amour, courage, fierté, discipline, harmonie, équilibre...Limiter le seuil de la richesse acquise par an et faire une redistribution à ceux qui ont permis, par leur travail, l'acquisition des bénéfices en excès. Et surtout taxer très toutes les excessives transactions boursières.Il faut également autoriser tous les pays de la zone euro en très grande difficulté économique de sortir de le l'Europe afin qu'ils retrouvent toute leur capacité de gestion. Les aider en les maintenant dans l'Europe risque à tout moment de créer une "implosion" de l'ensemble des pays qui la constitue en fragilisant considérablement l'euro.
L'Europe assiste la Grèce en faillite est-ce raisonable ?
Par solidarité et dans la crainte d'une chute vertigineuse de l'euro sauver l'économie de la Grèce par un prêt Européen abyssal est-ce raisonnable ?
Je pense que la Grèce aura tellement de difficultés à rembourser ces divers prêts qu'elle s'enfoncera toujours un peu plus. Alors dans un premier temps devant le surendettement de ce pays l'Europe accordera un étalement de cette dette sur une période plus longue. Puis dans un deuxième temps elle effacera une partie de cette dette contre de nouvelles obligations restrictives dans la gestion de son économie. Enfin dans un troisième temps alors que la Grèce se sera encore un peu plus enfoncée dans la faillite sa dette sera levée par tous les pays qui lui ont prêté cet argent. La Grèce quittera le marché commun et retournera à ses difficultés de naguère sans que personne ne puisse plus l'aider.
Seul le retour au plein emploi dans ce pays peut le sauver, mais face à la crise seule des restrictions drastiques sur les salaires, pensions et retraites vont momentanément donner un ballon d'oxygène. Alors une crise sociale sans précèdent va mettre ce pays dans l'incertitude et une instabilité grave risque de se produire. Ceci risque d'entrainer des remous dans l'Europe toute entière. Certains pays accuserons les autres d'avoir agi trop spontanément par un prêt abyssal à la Grèce sans garanties suffisantes de permettre à ce pays de s'en sortir. L'Union Européenne va vers une dramatique instabilité sociale. Le contraire du pourquoi l'Europe économique a été instituée.
Une fois de plus sera démonté que l'assistanat même à ce niveau ne construit pas l'avenir mais enfonce les pays qui reçoivent ces subsides de plus en plus vers le chaos économique et social.
D'autres pays de l'Europe économique ont de grandes difficultés économiques nous ne pourrons les aidés tous sans risquer de mettre nos propres économies dans le rouge.
Il faut ramener l'Europe à sa véritable raison économique, sociale et de stabilité entre les peuples qui la compose. Laissons les pays qui en bafouant les règles s'en soustraire jusqu'à leur stabilité économique et sociale revenue. L'Europe n'a pas les moyens de gaspiller le peu de deniers de réserve qu'il lui reste car même ses récents élus risquent à un certain moment d'être pris pour cible alors que deviendra l'Europe politique ? Je crains que la majorité politique de l'Europe devienne extrémiste si les électeurs européens sont trop déçus par la récession sociale que l'union Européenne a engendrée.
Je pense que la Grèce aura tellement de difficultés à rembourser ces divers prêts qu'elle s'enfoncera toujours un peu plus. Alors dans un premier temps devant le surendettement de ce pays l'Europe accordera un étalement de cette dette sur une période plus longue. Puis dans un deuxième temps elle effacera une partie de cette dette contre de nouvelles obligations restrictives dans la gestion de son économie. Enfin dans un troisième temps alors que la Grèce se sera encore un peu plus enfoncée dans la faillite sa dette sera levée par tous les pays qui lui ont prêté cet argent. La Grèce quittera le marché commun et retournera à ses difficultés de naguère sans que personne ne puisse plus l'aider.
Seul le retour au plein emploi dans ce pays peut le sauver, mais face à la crise seule des restrictions drastiques sur les salaires, pensions et retraites vont momentanément donner un ballon d'oxygène. Alors une crise sociale sans précèdent va mettre ce pays dans l'incertitude et une instabilité grave risque de se produire. Ceci risque d'entrainer des remous dans l'Europe toute entière. Certains pays accuserons les autres d'avoir agi trop spontanément par un prêt abyssal à la Grèce sans garanties suffisantes de permettre à ce pays de s'en sortir. L'Union Européenne va vers une dramatique instabilité sociale. Le contraire du pourquoi l'Europe économique a été instituée.
Une fois de plus sera démonté que l'assistanat même à ce niveau ne construit pas l'avenir mais enfonce les pays qui reçoivent ces subsides de plus en plus vers le chaos économique et social.
D'autres pays de l'Europe économique ont de grandes difficultés économiques nous ne pourrons les aidés tous sans risquer de mettre nos propres économies dans le rouge.
Il faut ramener l'Europe à sa véritable raison économique, sociale et de stabilité entre les peuples qui la compose. Laissons les pays qui en bafouant les règles s'en soustraire jusqu'à leur stabilité économique et sociale revenue. L'Europe n'a pas les moyens de gaspiller le peu de deniers de réserve qu'il lui reste car même ses récents élus risquent à un certain moment d'être pris pour cible alors que deviendra l'Europe politique ? Je crains que la majorité politique de l'Europe devienne extrémiste si les électeurs européens sont trop déçus par la récession sociale que l'union Européenne a engendrée.
lundi 22 mars 2010
Reconduction des Présidents sortants des régions
Victoire de la gauche aux régionales ? NON ! RECONDUCTION des sortants tout au plus.
Dans un commentaire précédent je précisais : Les Français doivent dire s'ils sont satisfaits de la gestion des régions détenues par les socialistes. Il semble que oui puisqu'ils ont reconduit la totalité des présidents des régions. Il faut prendre acte point. Espérons seulement qu'ils ne le regretteront pas trop rapidement. Quant aux abstentionnistes, nous pouvons penser qu'ils ont "voté" à leur manière leur déception sur les piètres résultats de la politique du gouvernement en place.
Plus de chômeurs, de moins en moins de pouvoir d'achat pour tous y compris pour les retraités. Ces derniers sont très déçus de la dernières "revalorisation" des pensions. Ils l'ont voté en ne votant pas. Aux élections cantonales en 2011 il y aura 70 % d'abstentionnistes . La gauche sera alors majoritaire mais il y aura malheureusement une très forte poussée FN. Lors de la Présidentielle de 2012 une victoire de l'ump sera alors très hypothétique.
Dans un commentaire précédent je précisais : Les Français doivent dire s'ils sont satisfaits de la gestion des régions détenues par les socialistes. Il semble que oui puisqu'ils ont reconduit la totalité des présidents des régions. Il faut prendre acte point. Espérons seulement qu'ils ne le regretteront pas trop rapidement. Quant aux abstentionnistes, nous pouvons penser qu'ils ont "voté" à leur manière leur déception sur les piètres résultats de la politique du gouvernement en place.
Plus de chômeurs, de moins en moins de pouvoir d'achat pour tous y compris pour les retraités. Ces derniers sont très déçus de la dernières "revalorisation" des pensions. Ils l'ont voté en ne votant pas. Aux élections cantonales en 2011 il y aura 70 % d'abstentionnistes . La gauche sera alors majoritaire mais il y aura malheureusement une très forte poussée FN. Lors de la Présidentielle de 2012 une victoire de l'ump sera alors très hypothétique.
mardi 16 mars 2010
Union de la gauche une catastrophe économique
Nous voici revenu en 1981. La seule différence c'est Martine AUBRY le chef de file maire de Lille comme l'était en son temps Pierre Mauroy. Cette fusion à gauche ne tient pas et ne tiendra JAMAIS la route pour la gestion des Régions. L'expérience de 1981 devait sauver la France de la décrépitude économique et financière, c'est le contraire qui est arrivé.Tous les ennuis pour la France ont débuté après le départ de Giscard d'Estaing amplifiés par la gestion calamiteuse de la France par l'équipe Mauroy alors premier Ministre.
Martine Aubry qui s'inspire de ce mouvement d'union a déjà semé la zizanie économique avec les 35 heures. Comment croire en cette femme qui n'a d'autre horizon pour la gestion de la France que son archaïque dogme socialiste qui distribue à tout va l'argent des travailleurs à ceux qui, pour la plupart, sans faire l'effort de rechercher du travail, attendent les mains ouvertes leurs sempiternels subsides.
Peut-être faut-il rechercher une nouvelle manière d'envisager la France de demain. Mais je ne crois absolument pas que c'est dans l'union de la gauche que l'on trouvera la solution.
Martine Aubry qui s'inspire de ce mouvement d'union a déjà semé la zizanie économique avec les 35 heures. Comment croire en cette femme qui n'a d'autre horizon pour la gestion de la France que son archaïque dogme socialiste qui distribue à tout va l'argent des travailleurs à ceux qui, pour la plupart, sans faire l'effort de rechercher du travail, attendent les mains ouvertes leurs sempiternels subsides.
Peut-être faut-il rechercher une nouvelle manière d'envisager la France de demain. Mais je ne crois absolument pas que c'est dans l'union de la gauche que l'on trouvera la solution.
Inflation 1,3 % - Augmentation des retraites 0, 9 %
Le gouvernement dit faire un cadeau aux retraités: 0,9 % de "REVALORISATION" des retraites au 1er Avril 2010 et 0, 7 % les complémentaires
Pour les retraites encore 0, 4 % de perte du pouvoir d'achat et pour les complémentaires encore 0, 6 % également de perte car l'inflation " officielle " est de 1,3 %. En 2008 1,70 % d'augmentation des retraites pour 2,3 % d'inflation. Déjà un décalage de trois mois du 1er janvier 2009 au 1er Avril 2009 avait reduit à zéro le différentiel pour l'année 2008. De toute façon les retraités perdent environ 1 % à 1,5 % de pouvoir d'achat chaque année.
C'est çà l'augmentation du pouvoir d'achat promis lors de la campagne des Présidentielles 2007 en France.
Je pense que les retraités vont apprécier et augmenteront encore le nombre des abstentionnistes dimanche prochain aux Régionales.
Si çà continue il n'y aura plus que 20 % d'électeurs aux prochaines élections.
Pendant ce temps nos élus de France et de l'union Européenne s'en mettent plein les poches.
Serions-nous en train de créer tout doucettement une monarchie dont les élus seraient des barons de départements, des princes de Régions , des Ministres du Roi, le Président devient Roi de France et le peuple ses vassaux désargentés.
Pour les retraites encore 0, 4 % de perte du pouvoir d'achat et pour les complémentaires encore 0, 6 % également de perte car l'inflation " officielle " est de 1,3 %. En 2008 1,70 % d'augmentation des retraites pour 2,3 % d'inflation. Déjà un décalage de trois mois du 1er janvier 2009 au 1er Avril 2009 avait reduit à zéro le différentiel pour l'année 2008. De toute façon les retraités perdent environ 1 % à 1,5 % de pouvoir d'achat chaque année.
C'est çà l'augmentation du pouvoir d'achat promis lors de la campagne des Présidentielles 2007 en France.
Je pense que les retraités vont apprécier et augmenteront encore le nombre des abstentionnistes dimanche prochain aux Régionales.
Si çà continue il n'y aura plus que 20 % d'électeurs aux prochaines élections.
Pendant ce temps nos élus de France et de l'union Européenne s'en mettent plein les poches.
Serions-nous en train de créer tout doucettement une monarchie dont les élus seraient des barons de départements, des princes de Régions , des Ministres du Roi, le Président devient Roi de France et le peuple ses vassaux désargentés.
lundi 15 mars 2010
Les verts virent au rouge
Alliance des verts avec le front de gauche.
Pourquoi les verts ne disent pas qu'ils sont rouges en réalité dès le premier tour des Régionales, ce serait plus simple pour tous leurs électeurs. Maintenant qu'ils s'allient avec le front de gauche au deuxième tour leurs électeurs seront dans l'obligation de défiler 50 fois par an avec le CGT. Vraiment les écologistes c'est n'importe quoi avec n'importe qui. Quand ceux-ci n'ont pas de programme l'alliance est facile.
Pourquoi les verts ne disent pas qu'ils sont rouges en réalité dès le premier tour des Régionales, ce serait plus simple pour tous leurs électeurs. Maintenant qu'ils s'allient avec le front de gauche au deuxième tour leurs électeurs seront dans l'obligation de défiler 50 fois par an avec le CGT. Vraiment les écologistes c'est n'importe quoi avec n'importe qui. Quand ceux-ci n'ont pas de programme l'alliance est facile.
jeudi 11 mars 2010
Des Français super vendeurs internationaux c'est urgent.
Faire bouger la France c'est préparer le terrain pour que la France évolue avec son siècle. La sclérose nous envahissait peu à peu avec le dogme socialiste qui freine tous progrès. On peut comprendre la panique des Français orchestrée par les partis de gauche devant tous les changements mis en place par Monsieur Sarkozy. Des pays évoluent plus vite que nous depuis la crise économique, parce qu'ils avaient fait les changements nécessaires avant celle-ci. Notre pays a plutôt mieux résisté dit-on, mais est-ce la France ou les Français qui ont mieux résisté ? Disons que le système social a permis une certaine protection des Français, mais si la crise dure encore trop longtemps ce système va exploser. Donc il faut mettre en place une dynamique de relance de l'emploi en aidant les petites entreprises à devenir des concurrents sérieux sur le plan international, en augmentant le volume et la cadence de leur production. Il faut également former rapidement des personnes pour les rendre capable de vendre ces produits à l'étranger. Il faut développer rapidement l'enseignement de la langue anglaise à tous les Français aptes à entrer dans ce commerce international . Si nous réussissons cela nous sauverons des centaines de milliers d'emploi. Un des problèmes majeurs Français c'est de ne pas avoir su maintenir ou créer une industrie de taille internationale, une formation mal adaptée des nouveaux acteurs professionnels de base et ceux de haut niveau et de ne pas avoir su former ces super vendeurs internationaux.
lundi 8 mars 2010
DUNKERQUE TOTAL COMME PARTOUT
La CGT et les députés des partis de gauche courageux et omniprésents dans toutes les luttes sociales car c'est leur électorat qui est sur la sellette. Ils entraînent souvent les travailleurs dans des revendications à perte de vue mais n'en voient jamais le bout. Malheureusement syndicats et députés de gauche n'arrivent que très rarement à atteindre leurs revendications, au plus ils sauvent les meubles mais laissent brûler la maison. Pourquoi ? ils arrivent toujours trop tard !
CE SERA AINSI :
TANT QUE DANS LES COMITES D'ENTREPRISES LES REPRESENTANTS DES SALARIES NE CLAMERONT PAS HAUT ET FORT LEURS PROPOSITIONS AVANT QUE LES PATRONS DECIDENT POUR EUX ET LEURS PROPOSENT LES DECISIONS BIEN EMBALLEES QU'ILS ACCEPTENT TROP FACILEMENT.
CE SERA AINSI :
TANT QUE DANS LES COMITES D'ENTREPRISES LES REPRESENTANTS DES SALARIES NE CLAMERONT PAS HAUT ET FORT LEURS PROPOSITIONS AVANT QUE LES PATRONS DECIDENT POUR EUX ET LEURS PROPOSENT LES DECISIONS BIEN EMBALLEES QU'ILS ACCEPTENT TROP FACILEMENT.
Parité aux Régionales, SEULES les LISTES UMP peuvent faire changer les choses
La gauche détient 20 Régions sur 22. Seules deux femmes sont Présidentes de Régions.
SI VOUS SOUHAITEZ VOIR DES FEMMES PRENDRE LA PRESIDENCE DES REGIONS, C'EST SIMPLE :
VOTEZ POUR LES LISTES DE DROITE UMP QUI ONT PLACE UNE FEMME EN TÊTE DE LISTE.
MADAME CAROLINE CAYEUX EST TÊTE DE LISTE UMP EN PICARDIE. VOTEZ POUR CETTE LISTE.
jeudi 4 mars 2010
Monsieur Sarkozy veut sauver les industries....
On ne sauve pas des industries moribondes, on crée ou on restructure nos industries pour les rendre plus compétitives. Nos industries françaises ont manqué d'inovation, d'études prospectives de marché, elles ont trop laissé partir leurs meilleurs ingénieurs vers les entreprises étrangères.
Un ensemble de raisons conjuguées a généré la déstructuration de notre industrie ;
- les 35 heures de travail payés pour 40 heures hebdomadaires,
- 5 semaines de congés payés,
- 8 jours fériés supplémentaires par an,
- des droits sociaux en matière de maternité voire de "paternité", des congés parentaux pour garde d'enfants malades etc.....
- la retraite à 60 ans pour 40 ans de cotisations,
- les arrêts maladies mal contrôlés,
- les grèves,
- les charges sociales démesurées,
- les CDD
La privatisation des entreprises d'Etat qu'impose la limitation du déficit public n'a guère amélioré les choses.
Au vu de ces quelques exemples, nous pouvons comprendre que les employeurs soient peu enclins à créer ou à développer des entreprises en France.
Également en cause le fait que depuis depuis 30 à 35 ans nous achetons les produits aux prix les plus bas du marché pour la plupart fabriqués dans les pays où on exploite l'homme au travail (alors que nous avions il y a 35 ans ,les moyens d'acheter plus cher ). Il fallait s'attendre à ce que les employeurs délocalisent dans ces pays pour produire moins cher. Le moins cher est devenu bien trop cher pour ceux qui pour cette raison ont perdu leur emploi. Il fallait continuer à acheter les produits aux prix de la fabrication française de qualité.
On peut aussi y ajouter:
- les patrons devenus boursicoteurs qui n'ont plus que faire de leurs employés pour gagner de l'argent,
- les banques qui prêtent de plus en plus aux riches qui délocalisent au détriment de nos petites et moyennes industries en difficulté de trésorerie ce qui les met dans l'impossibilité de se restructurer et accentue encore leurs difficultés face aux grandes industries internationales.
Nous sommes devant une véritable guerre industrielle dont les acteurs sont en dehors des circuits politiques traditionnels. Les capitaux considérables de certaines firmes internationales qui délocalisent quand et où ils veulent dans des pays à main d'oeuvre peu chére, socialement sous développés donc peu taxés, contre les entreprises d'Etats des pays qui produisent bon marché par le biais de l'exploitation de l'homme au travail.
Nos chefs d'Etats peuvent-ils agir ?
La renationalisation des plus grandes entreprises est impossible pour deux raisons :
- le déficit public des Etats membres en Europe sont dans le rouge,
- En Europe la limitation du déficit public à 3% bloque tout processus de renationalisation.
Toute injection de capitaux d'Etat dans des entreprises privées grèvera ce déficit, qui paiera l'addition ?
BON COURAGE MONSIEUR SARKOZY SI VOUS PENSEZ POUVOIR SAUVER NOS INDUSTRIES!
Un ensemble de raisons conjuguées a généré la déstructuration de notre industrie ;
- les 35 heures de travail payés pour 40 heures hebdomadaires,
- 5 semaines de congés payés,
- 8 jours fériés supplémentaires par an,
- des droits sociaux en matière de maternité voire de "paternité", des congés parentaux pour garde d'enfants malades etc.....
- la retraite à 60 ans pour 40 ans de cotisations,
- les arrêts maladies mal contrôlés,
- les grèves,
- les charges sociales démesurées,
- les CDD
La privatisation des entreprises d'Etat qu'impose la limitation du déficit public n'a guère amélioré les choses.
Au vu de ces quelques exemples, nous pouvons comprendre que les employeurs soient peu enclins à créer ou à développer des entreprises en France.
Également en cause le fait que depuis depuis 30 à 35 ans nous achetons les produits aux prix les plus bas du marché pour la plupart fabriqués dans les pays où on exploite l'homme au travail (alors que nous avions il y a 35 ans ,les moyens d'acheter plus cher ). Il fallait s'attendre à ce que les employeurs délocalisent dans ces pays pour produire moins cher. Le moins cher est devenu bien trop cher pour ceux qui pour cette raison ont perdu leur emploi. Il fallait continuer à acheter les produits aux prix de la fabrication française de qualité.
On peut aussi y ajouter:
- les patrons devenus boursicoteurs qui n'ont plus que faire de leurs employés pour gagner de l'argent,
- les banques qui prêtent de plus en plus aux riches qui délocalisent au détriment de nos petites et moyennes industries en difficulté de trésorerie ce qui les met dans l'impossibilité de se restructurer et accentue encore leurs difficultés face aux grandes industries internationales.
Nous sommes devant une véritable guerre industrielle dont les acteurs sont en dehors des circuits politiques traditionnels. Les capitaux considérables de certaines firmes internationales qui délocalisent quand et où ils veulent dans des pays à main d'oeuvre peu chére, socialement sous développés donc peu taxés, contre les entreprises d'Etats des pays qui produisent bon marché par le biais de l'exploitation de l'homme au travail.
Nos chefs d'Etats peuvent-ils agir ?
La renationalisation des plus grandes entreprises est impossible pour deux raisons :
- le déficit public des Etats membres en Europe sont dans le rouge,
- En Europe la limitation du déficit public à 3% bloque tout processus de renationalisation.
Toute injection de capitaux d'Etat dans des entreprises privées grèvera ce déficit, qui paiera l'addition ?
BON COURAGE MONSIEUR SARKOZY SI VOUS PENSEZ POUVOIR SAUVER NOS INDUSTRIES!
mercredi 3 mars 2010
La Commission Européenne outrepasse ses droits. La France possède -t-elle encore sa souveraineté ?
Transformer les produits naturels uniquement pour encore plus de profits. Les pommes de terre étaient convenables, alors pourquoi ? Vraiment l'Homme est de plus en plus apprenti sorcier. Un jour cette commission donnera son autorisation pour créer un homme génétiquement modifié qui s'adaptera à toutes les alimentations génétiquement modifiées elles aussi. Je trouve que la CE outrepasse ses droits. Avant d'autoriser ce genre de modification génétique un référendum européen eut été utile. Je ne voterai plus pour l'UE. Je suis Français et j'espère le rester.
Mon père a été 4 ans prisonnier des Allemands (1940-1044)pour que la France garde le droit de prendre TOUTES ses décisions elle-même. Je n'ai aucune rancune envers qui que ce soit, j'aime tous les peuples, mais Je ne comprend pas que nous perdions chaque année un peu de cette prérogative d'être un pays souverain au profit d'une Europe souveraine. Je ne pensais pas que l'UE en arriverait à de telles décisions.
Mon père a été 4 ans prisonnier des Allemands (1940-1044)pour que la France garde le droit de prendre TOUTES ses décisions elle-même. Je n'ai aucune rancune envers qui que ce soit, j'aime tous les peuples, mais Je ne comprend pas que nous perdions chaque année un peu de cette prérogative d'être un pays souverain au profit d'une Europe souveraine. Je ne pensais pas que l'UE en arriverait à de telles décisions.
lundi 1 mars 2010
Régionales 2010 peu d'enthousiasme...
Les dates des élections régionales approchent et pourtant la ferveur n'y est pas.
Peu de conversations sur ce sujet alimentent nos discussions. Les ténors têtes de listes font leurs grandes messes pour convaincre leurs sympathisants mais les familles politiques sont tellement divisées qu'elles désintéressent même mes plus mordus de la politique. Il est certain que nos élus ont tellement peu de pouvoir sur l'économie et les finances qu'ils perdent de plus en plus de leur crédibilité.
Le nombre de chômeurs ne cesse d'augmenter, la sécurité sociale est en berne, les caisses de retraites sonnent le glas, les salaires, pensions et retraites sont bloqués et ne suivent plus l'inflation certes modeste mais significative tout de même. Les taxes ne cessent d'augmenter (hormis pour le restaurateurs), les déremboursements ou moindre remboursements sur tous les produits de santé(médicaments, médecins... Les immigrés défilent pour qu'on leur accorde plus de reconnaissance, du jamais vu à 15 jours des élections. Les retraités n'en peuvent plus de voir leur pouvoir d'achat s'amenuiser chaque année et manifestent eux aussi. Les patrons des banques et grandes entreprises reprennent leur logique d'enrichissement par spéculation boursière sans apporter de contre partie au problème du chômage voire même l'aggravent. ....
Alors ce n'est pas l'enthousiasme pour ces élections régionales, il est à parier que le pourcentage de votants va s'écrouler... Ceci pourrait faire le jeu des partis extrêmes. Ce serait dommage car ces élections sont un enjeu majeur pour que chacune d'elle retrouve une véritable identité singulière qui faisait la richesse de la diversité française. Un État tout à droite et les Régions toutes à gauche, les Français aiment vraiment le paradoxe. Paradoxe ridicule qui n'a aucun sens politique hormis celui de bénéficier des aides sociales de la part des régions que l'Etat n'accorde plus. Mais ceci fera augmenter inévitablement les impôts des collectivités territoriales.
Peu de conversations sur ce sujet alimentent nos discussions. Les ténors têtes de listes font leurs grandes messes pour convaincre leurs sympathisants mais les familles politiques sont tellement divisées qu'elles désintéressent même mes plus mordus de la politique. Il est certain que nos élus ont tellement peu de pouvoir sur l'économie et les finances qu'ils perdent de plus en plus de leur crédibilité.
Le nombre de chômeurs ne cesse d'augmenter, la sécurité sociale est en berne, les caisses de retraites sonnent le glas, les salaires, pensions et retraites sont bloqués et ne suivent plus l'inflation certes modeste mais significative tout de même. Les taxes ne cessent d'augmenter (hormis pour le restaurateurs), les déremboursements ou moindre remboursements sur tous les produits de santé(médicaments, médecins... Les immigrés défilent pour qu'on leur accorde plus de reconnaissance, du jamais vu à 15 jours des élections. Les retraités n'en peuvent plus de voir leur pouvoir d'achat s'amenuiser chaque année et manifestent eux aussi. Les patrons des banques et grandes entreprises reprennent leur logique d'enrichissement par spéculation boursière sans apporter de contre partie au problème du chômage voire même l'aggravent. ....
Alors ce n'est pas l'enthousiasme pour ces élections régionales, il est à parier que le pourcentage de votants va s'écrouler... Ceci pourrait faire le jeu des partis extrêmes. Ce serait dommage car ces élections sont un enjeu majeur pour que chacune d'elle retrouve une véritable identité singulière qui faisait la richesse de la diversité française. Un État tout à droite et les Régions toutes à gauche, les Français aiment vraiment le paradoxe. Paradoxe ridicule qui n'a aucun sens politique hormis celui de bénéficier des aides sociales de la part des régions que l'Etat n'accorde plus. Mais ceci fera augmenter inévitablement les impôts des collectivités territoriales.
samedi 6 février 2010
Rôle des Régions, à consulter avant de voter.....
Avant de voter pensez toujours à vous poser la question :
Les élus de ma Région ont-ils rempli leur rôle ?
Rôle et fonctionnement du Conseil régional
Par Pierre MAGNAN
La région est une collectivité territoriale, dotée d'un conseil élu avec à sa tête le président du conseil régional
A quoi servent les régions, quel est le rôle du Conseil régional, quelles sont les attributions des régions par rapport aux autres collectivités, de quel financement disposent-elles et quelles sont leurs principales dépenses.
Début de réponse.
Les compétences du Conseil régional
Le Conseil régional a un pouvoir d'intervention dans quatre secteurs:
Le développement économique
C’est le domaine d’intervention principal de la région, qui a été confirmé par la loi du 13 août 2004. En effet, toutes les collectivités interviennent économiquement, mais désormais la région "coordonne sur son territoire les actions de développement économique des collectivités territoriales et de leurs groupements ".
Depuis la loi du 13 août 2004, la région a en charge l’élaboration d’un schéma régional de développement économique, après concertation avec les départements, les communes et leurs groupements, à titre expérimental et pour cinq ans, afin de coordonner les actions de développement économique, promouvoir un développement économique équilibré de la région et à développer l’attractivité de son territoire.
-L’aménagement du territoire et la planification
Cela comprend notamment :
- la consultation des régions lors de la détermination de la politique nationale d’aménagement et de développement durable qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. ;
- l’élaboration du plan de la région constitué par un schéma régional d’aménagement et de développement du territoire (SRADT), qui fixe les orientations à moyen terme du développement durable du territoire régional. Il définit notamment les objectifs de localisation des grands équipements, des infrastructures et des services d’intérêt général de la région et veille à la cohérence des projets d’équipement avec les politiques de l’État et des autres collectivités. Il intègre le schéma régional de transport.
-la signature de contrats de projets entre l’État et les régions qui succèdent désormais aux contrats de plan, recensant les actions qu’ils s’engagent à mener ensemble (ex : plan Université 2000 pour la construction d’universités et plan U3M pour les universités du troisième millénaire). Les contrats de plan permettaient la mise en œuvre d’orientations définies dans le SRADT.
- depuis la loi du 13 août 2004, l’aménagement, l’entretien et la gestion des aérodromes civils appartenant à l’État pour les régions qui en ont fait la demande, la propriété, l’aménagement, l’entretien et la gestion des ports non autonomes relevant de l’État pour les régions, mais également toute collectivité ou groupement, qui en ont fait la demande
-l’élaboration d’un schéma régional de transport, qui devient avec la loi du 13 août 2004 un « schéma régional des infrastructures et des transports ». La région organise des services de transport routier non urbain des personnes et, depuis le 1er janvier 2002, est l’autorité organisatrice des transports ferroviaires de la région, sauf en Île-de-France où c’est le STIF) qui organise les réseaux de transports (contrôlé maintenant par la région).
-L’éducation, la formation professionnelle et la culture
Dans ce secteur, la région a notamment pour mission:
- la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement des lycées, des établissements d’éducation spéciale et des lycées professionnels maritimes. La région devient également responsable du recrutement et de la gestion, notamment de la rémunération, des personnels non enseignant de ces établissements (personnels techniciens, ouvriers et de service, dits TOS) ;
- la participation au financement d’une part significative des établissements universitaires (Plan Université 2000), bien que l’enseignement supérieur relève de la compétence de l’État ;
- la formation professionnelle : depuis la loi du 13 août 2004, la région définit et met en œuvre la politique régionale d’apprentissage et de formation professionnelle des jeunes et des adultes à la recherche d’un emploi ou d’une nouvelle orientation professionnelle » (article 8). Elle n’est donc plus chargée uniquement de sa mise en œuvre. La région élabore un plan régional de développement des formations professionnelles. Chaque année, les régions arrêtent également un programme d’apprentissage et de formation professionnelle continue, désormais dans le cadre du plan régional de développement des formations professionnelles ;
- l’organisation et le financement des musées régionaux, la conservation et la mise en valeur des archives régionales que la région peut toutefois confier, par une convention, au département ;
- depuis la loi du 13 août 2004, la responsabilité de l’inventaire général du patrimoine culturel, dont la région peut confier, par une convention aux collectivités ou groupements qui en font la demande, la conduite sur leur territoire. Cette loi offrait également la possibilité aux régions, tout comme aux départements, d’engager une expérimentation, maximum un an après l’entrée en vigueur de la loi et pour quatre ans, concernant la gestion des crédits d’entretien et de restauration du patrimoine classé ou inscrit, n’appartenant pas à l’État ou à ses établissements publics.
-La santé
Ce domaine d’intervention, peu développé auparavant, a été enrichi par la loi du 13 août 2004 notamment avec :
-la possibilité pour les régions, tout comme pour les communes et les départements, et dans le cadre d’une convention conclue avec l’État, d’exercer des activités en matière de vaccination, de lutte contre la tuberculose, la lèpre, le sida et les infections sexuellement transmissibles ;
-la possibilité, à titre expérimental, pour les régions de participer au financement et à la réalisation d’équipements sanitaires.
Les finances de la région
Pour l'année 2009, les régions françaises ont voté 27,7 milliards d'euros de dépenses dans leurs budgets primitifs. Leur budget progresse de 2,6% par rapport à 2008, ce qui correspond à une prévision de 700 millions d'euros de dépenses supplémentaires. Après un doublement des dépenses entre 2006 et 2007, suivie d'une hausse de 48% en 2008, les dépenses augmentent à un rythme plus modéré en 2009, avec l'achèvement des transferts de personnel.
Parallèlement, les recettes issues de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) allouées en compensation des charges transférées occupent une place de plus en plus importante dans les ressources des conseils régionaux (plus de 10% des recettes de la TIPP va aux régions). Les taux de fiscalité directe locale votés par les régions sont très proches de ceux votés en 2008, en légère hausse pour quelques régions.
Les budgets des régions restent cependant modestes. A titre de comparaison, la plus grosse région de France, celle d’Ile-de France dispose d’un budget de 4,5 milliards d’euros alors que le seul département des Hauts-de-Seine a un budget de 1,7 milliard d’euros. Dans ces budgets, les postes Education (lycées notamment) et Transports sont les plus importants. Voir le tableau reprenant les budgets de l'ensemble des régions.
Les régions bénéficient de recettes fiscales directes (foncier bâti, foncier non bâti, taxe professionnelle, en pleine modification) et indirectes. L’Etat est devenu le gros contributeur des régions en raison de nombreuses compensations apportées par l’Etat à la suite de réformes fiscales et au titre des dotations de fonctionnement. Voir l'exemple de budget régional avec le tableau présenté par la région Bretagne.
Les pouvoirs et attributions des régions sont définis par la Constitution (art.72 et suivants). Tout transfert de compétences entre l'Etat et les collectivités territoriales s'accompagne de l'attribution de ressources équivalentes à celles qui étaient consacrées à leur exercice. (principe de subsidiarité).
Fonctionnement du Conseil régional
Outre ce principe, la constitution fixe d’autres règles comme celle de la liberté d'utilisation de leurs ressources par les collectivités territoriales, une marge de manœuvre dans la fixation des taux et des assiettes des impositions et le caractère « déterminant » des ressources propres.
Les conseils régionaux ont les mêmes conditions de fonctionnement que les conseils généraux :
-réunions plénières au moins une fois par trimestre à l’initiative du président ou à la demande de la commission permanente ou du tiers des membres sur un ordre du jour déterminé ;
-information des conseillers régionaux assurée par un rapport sur chacune des affaires à débattre adressé au moins douze jours avant la séance ;
-séances ouvertes au public, sauf en cas de huis clos décidé par le conseil ou en cas d’agitation, le président pouvant exercer son pouvoir de "police des séances" et restreindre l’accès du public aux débats.
Le Président du Conseil régional prépare et fait exécuter les délibérations du Conseil régional. Mais il est aussi responsable du budget et chef de l’administration. Il représente la collectivité et gère son patrimoine.
La Commission Permanente (ou CP) est l’organe exécutif du Conseil régional. Face au volume de décisions à prendre, l’Assemblée lui délègue une partie de ses attributions à l’exception notable du vote du budget, de l’approbation du compte administratif (budget exécuté) et des dépenses obligatoires.
Les élus de ma Région ont-ils rempli leur rôle ?
Rôle et fonctionnement du Conseil régional
Par Pierre MAGNAN
La région est une collectivité territoriale, dotée d'un conseil élu avec à sa tête le président du conseil régional
A quoi servent les régions, quel est le rôle du Conseil régional, quelles sont les attributions des régions par rapport aux autres collectivités, de quel financement disposent-elles et quelles sont leurs principales dépenses.
Début de réponse.
Les compétences du Conseil régional
Le Conseil régional a un pouvoir d'intervention dans quatre secteurs:
Le développement économique
C’est le domaine d’intervention principal de la région, qui a été confirmé par la loi du 13 août 2004. En effet, toutes les collectivités interviennent économiquement, mais désormais la région "coordonne sur son territoire les actions de développement économique des collectivités territoriales et de leurs groupements ".
Depuis la loi du 13 août 2004, la région a en charge l’élaboration d’un schéma régional de développement économique, après concertation avec les départements, les communes et leurs groupements, à titre expérimental et pour cinq ans, afin de coordonner les actions de développement économique, promouvoir un développement économique équilibré de la région et à développer l’attractivité de son territoire.
-L’aménagement du territoire et la planification
Cela comprend notamment :
- la consultation des régions lors de la détermination de la politique nationale d’aménagement et de développement durable qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. ;
- l’élaboration du plan de la région constitué par un schéma régional d’aménagement et de développement du territoire (SRADT), qui fixe les orientations à moyen terme du développement durable du territoire régional. Il définit notamment les objectifs de localisation des grands équipements, des infrastructures et des services d’intérêt général de la région et veille à la cohérence des projets d’équipement avec les politiques de l’État et des autres collectivités. Il intègre le schéma régional de transport.
-la signature de contrats de projets entre l’État et les régions qui succèdent désormais aux contrats de plan, recensant les actions qu’ils s’engagent à mener ensemble (ex : plan Université 2000 pour la construction d’universités et plan U3M pour les universités du troisième millénaire). Les contrats de plan permettaient la mise en œuvre d’orientations définies dans le SRADT.
- depuis la loi du 13 août 2004, l’aménagement, l’entretien et la gestion des aérodromes civils appartenant à l’État pour les régions qui en ont fait la demande, la propriété, l’aménagement, l’entretien et la gestion des ports non autonomes relevant de l’État pour les régions, mais également toute collectivité ou groupement, qui en ont fait la demande
-l’élaboration d’un schéma régional de transport, qui devient avec la loi du 13 août 2004 un « schéma régional des infrastructures et des transports ». La région organise des services de transport routier non urbain des personnes et, depuis le 1er janvier 2002, est l’autorité organisatrice des transports ferroviaires de la région, sauf en Île-de-France où c’est le STIF) qui organise les réseaux de transports (contrôlé maintenant par la région).
-L’éducation, la formation professionnelle et la culture
Dans ce secteur, la région a notamment pour mission:
- la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement des lycées, des établissements d’éducation spéciale et des lycées professionnels maritimes. La région devient également responsable du recrutement et de la gestion, notamment de la rémunération, des personnels non enseignant de ces établissements (personnels techniciens, ouvriers et de service, dits TOS) ;
- la participation au financement d’une part significative des établissements universitaires (Plan Université 2000), bien que l’enseignement supérieur relève de la compétence de l’État ;
- la formation professionnelle : depuis la loi du 13 août 2004, la région définit et met en œuvre la politique régionale d’apprentissage et de formation professionnelle des jeunes et des adultes à la recherche d’un emploi ou d’une nouvelle orientation professionnelle » (article 8). Elle n’est donc plus chargée uniquement de sa mise en œuvre. La région élabore un plan régional de développement des formations professionnelles. Chaque année, les régions arrêtent également un programme d’apprentissage et de formation professionnelle continue, désormais dans le cadre du plan régional de développement des formations professionnelles ;
- l’organisation et le financement des musées régionaux, la conservation et la mise en valeur des archives régionales que la région peut toutefois confier, par une convention, au département ;
- depuis la loi du 13 août 2004, la responsabilité de l’inventaire général du patrimoine culturel, dont la région peut confier, par une convention aux collectivités ou groupements qui en font la demande, la conduite sur leur territoire. Cette loi offrait également la possibilité aux régions, tout comme aux départements, d’engager une expérimentation, maximum un an après l’entrée en vigueur de la loi et pour quatre ans, concernant la gestion des crédits d’entretien et de restauration du patrimoine classé ou inscrit, n’appartenant pas à l’État ou à ses établissements publics.
-La santé
Ce domaine d’intervention, peu développé auparavant, a été enrichi par la loi du 13 août 2004 notamment avec :
-la possibilité pour les régions, tout comme pour les communes et les départements, et dans le cadre d’une convention conclue avec l’État, d’exercer des activités en matière de vaccination, de lutte contre la tuberculose, la lèpre, le sida et les infections sexuellement transmissibles ;
-la possibilité, à titre expérimental, pour les régions de participer au financement et à la réalisation d’équipements sanitaires.
Les finances de la région
Pour l'année 2009, les régions françaises ont voté 27,7 milliards d'euros de dépenses dans leurs budgets primitifs. Leur budget progresse de 2,6% par rapport à 2008, ce qui correspond à une prévision de 700 millions d'euros de dépenses supplémentaires. Après un doublement des dépenses entre 2006 et 2007, suivie d'une hausse de 48% en 2008, les dépenses augmentent à un rythme plus modéré en 2009, avec l'achèvement des transferts de personnel.
Parallèlement, les recettes issues de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) allouées en compensation des charges transférées occupent une place de plus en plus importante dans les ressources des conseils régionaux (plus de 10% des recettes de la TIPP va aux régions). Les taux de fiscalité directe locale votés par les régions sont très proches de ceux votés en 2008, en légère hausse pour quelques régions.
Les budgets des régions restent cependant modestes. A titre de comparaison, la plus grosse région de France, celle d’Ile-de France dispose d’un budget de 4,5 milliards d’euros alors que le seul département des Hauts-de-Seine a un budget de 1,7 milliard d’euros. Dans ces budgets, les postes Education (lycées notamment) et Transports sont les plus importants. Voir le tableau reprenant les budgets de l'ensemble des régions.
Les régions bénéficient de recettes fiscales directes (foncier bâti, foncier non bâti, taxe professionnelle, en pleine modification) et indirectes. L’Etat est devenu le gros contributeur des régions en raison de nombreuses compensations apportées par l’Etat à la suite de réformes fiscales et au titre des dotations de fonctionnement. Voir l'exemple de budget régional avec le tableau présenté par la région Bretagne.
Les pouvoirs et attributions des régions sont définis par la Constitution (art.72 et suivants). Tout transfert de compétences entre l'Etat et les collectivités territoriales s'accompagne de l'attribution de ressources équivalentes à celles qui étaient consacrées à leur exercice. (principe de subsidiarité).
Fonctionnement du Conseil régional
Outre ce principe, la constitution fixe d’autres règles comme celle de la liberté d'utilisation de leurs ressources par les collectivités territoriales, une marge de manœuvre dans la fixation des taux et des assiettes des impositions et le caractère « déterminant » des ressources propres.
Les conseils régionaux ont les mêmes conditions de fonctionnement que les conseils généraux :
-réunions plénières au moins une fois par trimestre à l’initiative du président ou à la demande de la commission permanente ou du tiers des membres sur un ordre du jour déterminé ;
-information des conseillers régionaux assurée par un rapport sur chacune des affaires à débattre adressé au moins douze jours avant la séance ;
-séances ouvertes au public, sauf en cas de huis clos décidé par le conseil ou en cas d’agitation, le président pouvant exercer son pouvoir de "police des séances" et restreindre l’accès du public aux débats.
Le Président du Conseil régional prépare et fait exécuter les délibérations du Conseil régional. Mais il est aussi responsable du budget et chef de l’administration. Il représente la collectivité et gère son patrimoine.
La Commission Permanente (ou CP) est l’organe exécutif du Conseil régional. Face au volume de décisions à prendre, l’Assemblée lui délègue une partie de ses attributions à l’exception notable du vote du budget, de l’approbation du compte administratif (budget exécuté) et des dépenses obligatoires.
vendredi 29 janvier 2010
La liste ump pour la Picardie au vert- galant à Amiens le samedi 30 janvier à 17 heures.
Présentation des 63 candidats de la liste de madame Cayeux tête de liste ump de la Picardie demain samedi 30 janvier au vert-galant à Amiens 17 heures.
Un socialiste Bernard Hellal 12 ème rang ? sur la liste. Une femme professeur et ump retirée de la liste ( 17 ème rang) ce vendredi 29 janvier au profit d'une autre proposée par un Ministre.
Un socialiste Bernard Hellal 12 ème rang ? sur la liste. Une femme professeur et ump retirée de la liste ( 17 ème rang) ce vendredi 29 janvier au profit d'une autre proposée par un Ministre.
jeudi 28 janvier 2010
Vaccin H1N1 . Il est encore proposé de le faire dans des centres fermés depuis 10 jours
Amusant, stupide et coûteux. Nous venons, ma femme et moi, de recevoir ce jour 30 janvier une lettre non datée, l'offre gratuite de vaccin H1N1 à faire dans un centre de vaccination cité en référence. Ce centre est officiellement fermé depuis 10 jours. De toute façon nous avions décidé de ne pas suivre cette offre de vaccination pour les raisons expliquées précédemment dans ce blog. Vraiment çà déraille de partout en France.
mercredi 27 janvier 2010
Mauvaise foi dans l'analyse du chômage sur site orange. L'avenir des citoyens du monde est garanti par le -travail- pas par les spéculations véreuses.
J'ai lu dans les informations du site orange une bien piêtre analyse des chiffres du chômage en décembre 2009. Je n'ai jamais connu une telle analyse des statistiques du chômage. Il eut fallu dans cette analyse, au lieu de cumuler le nombre de travailleurs partiels avec le nombre de chômeurs, calculer avec l'équivalent "temps plein" des travailleurs partiels . De plus le travail partiel des anciens chômeur est "aidé" par des subsides. C'est d'une mauvaise foi incroyable. Certes il est dommage de développer le travail partiel, mais néanmoins c'est un moindre mal par temps de crise économique, il s'agit de remettre la France au travail, je pense aussi que le plein emploi va - progressivement - revenir. L'excès des stocks des entreprises qui a entraîné l'augmentation du chômage s'épuise, si les entreprises veulent survivre et répondre rapidement à la sortie de crise elles vont devoir embaucher de nouveau. Les clients s'adresseront aux entreprises qui livreront les quantités de produits commandés dans les délais qu'ils imposeront. Les arroseurs ( les grandes entreprises et la haute finance internationales )seront un jour ou l'autre arrosés. Ce sera le juste retour du bâton. Alors le grèves reprendront, et les avantages perdus seront retrouvés. Sauf en cas de cataclysme, le monde jusqu'à maintenant n'a jamais retourné dans une ère ultérieure. Ayez confiance, l'avenir appartient à ceux qui y croient encore et toujours. Cette crise économique aussi grave soit elle n'empêchera pas la terre de tourner et les citoyens d'y survivre. Le profit, par le risque des placements "véreux", bourse, pierres précieuses, oeuvres d'art ridiculement surcôtées, vedettes fabriqués et éphémères etc... ce profit mal acquis ne survivra pas. Seul le - travail - des hommes et des femmes du monde entier est une garantie d'avenir pour tous. Sur ce ponit Monsieur Sarkozy a entièrement raison.
mardi 19 janvier 2010
Retour à internet explorer
Bon,j'ai simplifié. J'ai réinitialisé mon ordinateur à la sortie usine. Il semble que je capte plus facilement internet et en plus je peux à nouveau télécharger.
Il semblerait que google est piégé par certains internautes chinois, d'après le message que j'ai reçu directement à l'ouverture de orange.fr.
Ouf !
Il semblerait que google est piégé par certains internautes chinois, d'après le message que j'ai reçu directement à l'ouverture de orange.fr.
Ouf !
Problèmes avec internet explorer 7
Lenteur considérable au démarrage. Je passe maintenant par google chrome puis orange.fr et j'ai accès à toutes mes données. J'ai dû restaurer mon pc après avoir téléchargé igraal, une catastrophe je n'arrivais plus à m'en débarrasser, sauf en restaurant mon pc à une date ultérieure. N'oubliez pas de sauvegarder. Ne télécharger pas "i graal" sinon..... vous aurez les mêmes problèmes.
Libellés :
problèmes avec igraal et internet exporer 7
dimanche 3 janvier 2010
H1N1, vache folle, grippe aviaire....
Il s'avère que les prévisions ultra-pessimistes de l'OMS, relayées par une pression des laboratoires sans précédents, ceux-ci ayant pressenti le panier financier, deviennent un fiasco de santé publique internationale. La "grande pandémie hivernale" de grippe A ne pointe que le bout de son nez en France et en Europe et semble déjà s'étiolée après un pic mineur. Le nombre de cas déclarés, environ 3 millions, dont trop peu de cas ont été vérifiés par la recherche systématique d'anticorps (trop cher pour le faire systématiquement), alors on se base sur une symptomatologie plus ou moins bien précisée par les patients. On fait une enquête épidémiologique sur quelques femmes enceintes 2 sur 10 avaient contracté le virus sans l'apparition de symptômes ( porteurs sains ) et hop on extrapole en ajoutant quelques millions de cas asymptomatiques possibles. Il est grand temps de redonner à la santé publique sa véritable place dans notre médecine. Les enquêtes épidémiologiques ne s'improvisent pas. Le suivi d'une pandémie obéit à des règles strictes, celles-ci peuvent permettre d'extrapoler la gravité et l'étendue d'une maladie si elles sont rigoureusement appliquées. Il semblerait que cette extrapolation a été faite de façon précipitée par la méconnaissance du virus mutant. Les laboratoires, précipités par la demande pressante de l'O.M.S et des gouvernements, se sont lancés très rapidement dans la recherche d'un vaccin, cette course effrénée a permis de battre les records puisque quatre laboratoires ont mis au point trois vaccins (excusez du peu). Dans la frénésie les gouvernements et en particulier la France se sont précipités pour effectuer une commande invraisemblable (95 millions de doses en France) sans en connaître la réelle efficacité et sa durée. Il s'avère que ces vaccins n'ont pas la confiance des Français et la crainte de cette grippe "létale" n'a fait peur qu'à peu de citoyens malgré un incroyable déballage médiatique. L'instinct du risque existerait-il encore chez les Français au point d'avoir prédit la faiblesse de cette pandémie ? ou est-ce que nous serions plus "kamikazes" que dans d'autres pays ? ou encore les Français n'auraient-ils plus confiance en leurs médecins ou en leurs élus politiques ? Je ne crois absolument pas à la peur de la réaction vaccinale, peu de personnes se posent la question lorsqu'elle est obligatoire.
Reste l'aspect économique et organisationnel de la vaccination. Fallait-il commander autant de doses sans en connaître sa réelle efficacité ? On peut comprendre la réaction de notre gouvernement dans cette erreur, l'expertise française en santé publique et épidémiologie n'est pas au top niveau et les conseillers se contredisent entr'eux. Alors il a bien fallu prendre une décision. Mais il s'avère que c'est aussi une décision démesurée. Maintenant les pays qui ont hâtivement acheté trop de vaccins cherchent à les revendre. Il est certain qu'ils seront soldés. C'est lamentable ! La sécurité sociale accuse en France un déficit colossal que les Français vont découvrir incessammement sous peu par les mesures draconiennes que l'Etat va imposer pour tenter de le réduire. Quoi qu'à chacune des nouvelles mesures d'envergure le déficit s'accroît paradoxalement et les Français payent toujours plus.
Quant à regretter de ne pas avoir laissé les médecins faire les vaccinations, je ne suis pas sûr qu'il y ait eu plus de demandes. On ne court pas chez un médecin pour se faire vacciner lorsque ce n'est pas obligatoire. Cette autorisation eut fait exploser le coût, car ces médecins auraient demandé des examens supplémentaires, les patients en auraient profité pour une consultation médicale. Il est grand temps de recréer des services de santé publique municipaux ou des services de santé publique au sein des hôpitaux.
La TRILOGIE DE LA REPONSE AU BESOIN DE SANTE n'a pas été appliquée pour cette "pandémie".
1) L'offre de soin : Elle a été hâtive et prédominante. Annoncée par un matraquage médiatique plus ou moins bien organisé, et accompagné d'annonces statistiques des plus fantaisistes ( x morts sans certitude de causalité avec le virus), matraquage sur l'utilité du vaccin allant même dire aux Français que l'injection était indolore comme-ci c'était la cause de leur méfiance, ridicule, des médicaments antiviraux dont tout le monde doute de leur réelle efficacité, des démonstrations de règles d'hygiènes qui ont fait rire tant elles sont habituellement pratiquées par le commun des mortels.
2) Le besoin a pu être perçu comme - possible -par les citoyens (à force de matraquage) mais n'a jamais été exprimé réellement par les adultes sauf lorsqu'il s'est agi du risque dominant chez les enfants, alors les parents ont préféré dans beaucoup de cas les faire vacciner et l'ont fait pour eux-mêmes en même temps puisqu'ils étaient présents lors de la vaccination. Mais ce besoin n'a été traduit qu'à cause du doute sur le risque, celui-ci ne faisait pas suite à une demande de soins exprimée.
3) La demande n'a jamais été réellement exprimée par la grande majorité des Français.
Ainsi le lancement d'une action de prévention à l'échelon international a mal fonctionné en France. Pourtant le risque était supposé réel et l'est encore puisqu'il est répété en permanence par nos élus et nos média. Ce sera toujours ainsi, à force de faire peur aux français sur tout : grippe aviaire, maladie de la vache folle, grippe A... déroute économique et financière, précarité, chômage, réchauffement climatique, etc.. etc... Plus personne ne croit plu en rien, ni en personne sur la capacité à gérer les évènements dramatiques et il s'établit une sorte de stoïcisme devant la gravité annoncée au point de réagir par un rejet.
L'identité des Français s'exprime par ce rejet d'offre se soins de prévention de la santé, car les couleuvres commencent à ne plus passer tant elles se multiplient.
N'oubliez jamais que la trilogie de la réponse à un besoin nécessite une offre de service en adéquation avec un besoin avéré, une demande de service exprimée ou sous-tendue. Toute offre de service qui n'entre pas dans cette trilogie ne sera que gaspillage de temps, de moyens en personnels, financiers, matériels et structurels.
Reste l'aspect économique et organisationnel de la vaccination. Fallait-il commander autant de doses sans en connaître sa réelle efficacité ? On peut comprendre la réaction de notre gouvernement dans cette erreur, l'expertise française en santé publique et épidémiologie n'est pas au top niveau et les conseillers se contredisent entr'eux. Alors il a bien fallu prendre une décision. Mais il s'avère que c'est aussi une décision démesurée. Maintenant les pays qui ont hâtivement acheté trop de vaccins cherchent à les revendre. Il est certain qu'ils seront soldés. C'est lamentable ! La sécurité sociale accuse en France un déficit colossal que les Français vont découvrir incessammement sous peu par les mesures draconiennes que l'Etat va imposer pour tenter de le réduire. Quoi qu'à chacune des nouvelles mesures d'envergure le déficit s'accroît paradoxalement et les Français payent toujours plus.
Quant à regretter de ne pas avoir laissé les médecins faire les vaccinations, je ne suis pas sûr qu'il y ait eu plus de demandes. On ne court pas chez un médecin pour se faire vacciner lorsque ce n'est pas obligatoire. Cette autorisation eut fait exploser le coût, car ces médecins auraient demandé des examens supplémentaires, les patients en auraient profité pour une consultation médicale. Il est grand temps de recréer des services de santé publique municipaux ou des services de santé publique au sein des hôpitaux.
La TRILOGIE DE LA REPONSE AU BESOIN DE SANTE n'a pas été appliquée pour cette "pandémie".
1) L'offre de soin : Elle a été hâtive et prédominante. Annoncée par un matraquage médiatique plus ou moins bien organisé, et accompagné d'annonces statistiques des plus fantaisistes ( x morts sans certitude de causalité avec le virus), matraquage sur l'utilité du vaccin allant même dire aux Français que l'injection était indolore comme-ci c'était la cause de leur méfiance, ridicule, des médicaments antiviraux dont tout le monde doute de leur réelle efficacité, des démonstrations de règles d'hygiènes qui ont fait rire tant elles sont habituellement pratiquées par le commun des mortels.
2) Le besoin a pu être perçu comme - possible -par les citoyens (à force de matraquage) mais n'a jamais été exprimé réellement par les adultes sauf lorsqu'il s'est agi du risque dominant chez les enfants, alors les parents ont préféré dans beaucoup de cas les faire vacciner et l'ont fait pour eux-mêmes en même temps puisqu'ils étaient présents lors de la vaccination. Mais ce besoin n'a été traduit qu'à cause du doute sur le risque, celui-ci ne faisait pas suite à une demande de soins exprimée.
3) La demande n'a jamais été réellement exprimée par la grande majorité des Français.
Ainsi le lancement d'une action de prévention à l'échelon international a mal fonctionné en France. Pourtant le risque était supposé réel et l'est encore puisqu'il est répété en permanence par nos élus et nos média. Ce sera toujours ainsi, à force de faire peur aux français sur tout : grippe aviaire, maladie de la vache folle, grippe A... déroute économique et financière, précarité, chômage, réchauffement climatique, etc.. etc... Plus personne ne croit plu en rien, ni en personne sur la capacité à gérer les évènements dramatiques et il s'établit une sorte de stoïcisme devant la gravité annoncée au point de réagir par un rejet.
L'identité des Français s'exprime par ce rejet d'offre se soins de prévention de la santé, car les couleuvres commencent à ne plus passer tant elles se multiplient.
N'oubliez jamais que la trilogie de la réponse à un besoin nécessite une offre de service en adéquation avec un besoin avéré, une demande de service exprimée ou sous-tendue. Toute offre de service qui n'entre pas dans cette trilogie ne sera que gaspillage de temps, de moyens en personnels, financiers, matériels et structurels.
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